Ginkgo Gakuen
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Le lycée sous le signe de l'arbre aux 1000 écus
 
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 Brian Merricks

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AuteurMessage
Brian Merricks
Rônin

Brian Merricks


Personnage
Âge : 19 ans
Chambre / Appart : 101

A savoir
:

Brian Merricks Empty
MessageSujet: Brian Merricks   Brian Merricks EmptyMar 1 Fév - 10:59

{ Brian Merricks }

Nom : Merricks
Prénom : Brian
Âge et date de naissance : 19 ans, 21 juin
Nationalité(s) : Américain (russe)

Classe : Rônin
Métier : travaille hors du lycée, dans un magasin de musique en ville
En savoir plus...

Votre pseudonyme : Mioup
Votre âge : IAB

Comment avez-vous connu le forum ? Chuck Norris m'en a parlé

D'où vient l'avatar de votre personnage ? Grèce de Hetalia

Caractère

En un mot ? Suave. Je déteste hausser la voix ou m'énerver pour me faire comprendre. En découle une infini patience, face aux personnes comme aux énigmes, aux études ou à la vie en général. En contrepartie... je ne suis pas toujours franc ? Mes colères sont toujours froides, et les conséquences, rarement directes. Certes, il en faut beaucoup pour m'énerver, mais j'ai la rancune tenace. Ce que les gens voient de moi, c'est plutôt un caractère tranquille et aimable, un gentil garçon bien sage et propre sur lui. En général, ils ont raison. S'il y a bien quelque chose que j'ai appris, c'est qu'il ne faut mieux pas se faire prendre, et si c'est le cas, mieux vaut mentir pour s'en sortir. Après, il faut être assez doué pour savoir le faire, c'est sûr...


Physique

La première chose qu'on remarque chez Brian ? Ses grands yeux verts expressifs. Après seulement, viennent ses cheveux châtains portés un peu long, une bouche prompte à sourire et ses gestes un peu maniérés.
Brian est posé, et cela se remarque dans ses gestes, patients et doux, voir délicats. Il plait ou agace, selon ses interlocuteurs, et en joue aisément, suffisamment assuré pour ne pas changer de comportement quand il déplaît à quelqu'un.

Tactile, le jeune homme n'hésite pas à toucher les autres. Une main sur l'épaule pour rassurer, effleurer le dos de main pour affirmer l'empathie, caresser les cheveux... même lorsqu'il ne tente pas de séduire, il aime sentir les autres.

Biographie

Moi ? Je est un autre, mais moi, je ne travaille pas à me rendre voyant, contrairement à Rimbaud. J'avais adoré l'étudier en littérature française... à ce jour, je crois qu'il reste un de mes auteurs préférés. Sa fougue, son panache... c'est ça dont je rêvais à 17 ans, et que 2 ans plus tard, j'ai du un peu pondérer.
Je vais essayer de faire ma biographie de la manière la plus succincte qui soit, en partant du début. Je pourrais me contenter de lister rapidement les faits, mais j'ai bien peur que les enchainements ne soient pas très logiques.

Je suis né du mariage du capitaine Brandon Merricks, membre de l'US Air Force, et de Anya Lesskov, jeune femme russe naturalisée américaine, interprète de son état. J'ai toujours entendu mes parents parler de leur histoire d'amour comme le coup de foudre ultime entre le beau capitaine américain et la jeune interprète qui travaillaient avec eux pour quelques mois ? Sitôt sa mission civile terminée au sein de l'armée, ils se sont mariés. Ils ne m'ont jamais donné aucune raison de démentir leur version, puisqu'à ce jour, plus de 20 ans plus tard, ils semblent toujours aussi complices.

Les premières années de ma vie se sont déroulées en Ohio, mon père étant à ce moment affecté à la base de Wright Patterson. Ma mère avait accepté de mettre son travail de côté quelque temps pour s'occuper à plein temps de son fils. A dire vrai, je pense que cela ne la dérangeait pas trop : elle n'a jamais mis de côté sa passion des langues, continuant à lire et à faire quelques traductions de livres pour ne pas perdre la main – ou la langue – J'ai donc passé ma jeune enfance bercé entre l'américain et le russe, entendant parfois un peu de japonais, la 3ème spécialité de ma mère.

L'affectation suivante de mon père fut la base de Hickam, à Hawai. Même si j'étais encore jeune, j'en garde quelques souvenirs extraordinaires, de paysages tropicaux et d'une vie de petit sauvageon qui allait nu pied un peu partout. Là aussi, ma mère se chargea d'une grosse partie de mon éducation même si j'allais à l'école avec d'autres enfants de militaires. A mon grand désespoir, et à la grande satisfaction de ma mère, l'année de mes 8 ans vit notre retour au continent, et mon retour à la civilisation.

Retour à la civilisation donc, plus précisément en Virginie, mon père étant affecté à la base de Langley. Autant dire que le retour a été dépaysant, voir difficile. Du haut de mes 8 ans, j'avais du mal à voir l'avantage à retourner dans un pays morne coincé alors que j'abandonnais l'océan turquoise perpétuellement chaud, les tropiques, la liberté. Je me suis retrouvé enfermé dans une école menée à la baguette alors que ma mère trouvait un travail d'interprète à Hampton. La vie me paraissait triste et sans intéret, et je me retrouvais à me plonger dans les livres et les études pour essayer de faire passer le temps. Ma mère dut penser que c'était trop pour un petit garçon de mon âge, et m'offrit mon 1er avant-gout de liberté : la musique. A l'origine, elle voulait me faire faire du piano, mais cet énorme instrument, qui s'avoisinait de mon point de vue à un engin de torture, ne me plus pas du tout. Après 1 an à tâtonner divers instruments en apprenant les bases de solfège, c'est sur le saxophone que je jetais mon dévolu, pour le plus grand plaisir de mon père, fan de jazz, ce qui n'y était probablement pas pour rien dans mon choix.

Malgré le nouveau déménagement quand j'eus 12 ans, cette fois en Floride, la vie continua son cours, me laissant finir le collège sans trop de difficultés : j'étais un élève plutôt studieux, le plaisir des professeurs, et suffisamment sportif et ouvert pour s'intégrer facilement avec les autres garçons de mon âge. D'ailleurs, sur la suggestion de mon père, je m'étais mis au tennis en arrivant en Floride, et j'avoue que le côté compétitif et individuel du sport me plaisait bien. Au niveau scolaire, je restais encore indécis, partagé entre la passion des langues soutenues par ma mère – je parlais déjà couramment le russe en plus de l'anglais, grâce à son suivi attentif, et je m'étais mis au japonais, langue où elle pouvait aussi m'aider – et un intérêt croissant pour les sciences, suivant cette fois les traces de mon père.

Après deux ans passés en Floride, sa nouvelle affectation nous emmena de l'autre côté du globe, en Corée du Sud, à Osan. Nouvel endroit dépaysant, nouvelle façon de vivre, où je pus assez facilement continuer ma scolarité dans un lycée américain qui regroupait le fils des dignitaires et autres soldats qui habitaient la région. J'ai gardé un souvenir assez mitigé de l'endroit : un pays à la fois fascinant mais que je n'ai pas pu découvrir comme je le souhaitais, bardé de restriction du à mon jeune âge. Quand à mon lycée, entre la sécurité du à la présence d'enfants d'ambassadeurs, et les gamins eux-même, plus imbus de leur importance qu'il n'était tolérable, j'avoue que je me suis un peu renfermé sur moi même à cette période qui n'a heureusement duré que 2 ans.

Mon retour aux USA pour mes 16 ans fut plus délicat que prévu, pour la bonne raison que mon père fut envoyé : Elmendorf, en Alaska. Autant le poste était intéressant pour lui, nouvellement promus Lieutenant-Colonel, autant pour mon éducation, mes parents étaient d'accord sur un point : c'était le désert. Dommage, les plaines gelées de l'Alaska me faisaient sacrément fantasmer. Après quelques semaines de discussion, une solution fut choisi : j'irais en internat à New York pour continuer mes études. Pourquoi New York, alors que je n'y avais jamais mis les pieds ? Pour la simple raison que mon oncle, le frère ainé de mon père, un avocat célibataire, habitait la-bas et pouvait s'occuper de gérer mes intérêts et mes soucis si besoin. Moi qui n'avait jamais été tellement apprécié de cet homme toujours pressé de qui je recevais pourtant un chèque et un petit mot à mes noëls et anniversaires, autant dire que je n'étais pas tellement motivé. La suite devait me donner tord.
La vie en pensionnat n'avait rien de bien passionnant, après quelques années en Corée, New York n'avait pas ce lustre fascinant que la ville aurait pu avoir en d'autres circonstances. Mon oncle a géré cette mini crise adolescente comme il pensait que ce serait le mieux : en m'occupant. A moi donc les cours de tennis, de Saxo, et, grande nouveauté, de dessin. Après tout, autant faire de moi un jeune homme qui avait l'éducation la plus complète possible. Au passage, il m'a aussi fait sortir à New York, découvrir la ville, les bars, me traitant comme un jeune adulte plutôt qu'un adolescent. Nous avons fini par nous entendre très bien, probablement grâce à sa manière de ne pas me considérer comme un enfant qui avait besoin d'être guidé par la main. Détail que j'ai appris à son contact et que je n'avais soupçonné jusque là : mon oncle est un grand séducteur, et lui demander des conseils pour ce genre de choses était souvent une bonne idée.
Année de mes premiers émois avec les demoiselles donc.
Et pas seulement. Je fis la connaissance pendant mon cours de dessin d'un jeune homme blond perpétuellement fatigué, au regard vif, et réellement passionné par le dessin, contrairement à moi. Petit à petit, le lien se fit, jusqu'à ce que je passe plus de temps chez lui que dans la salle de repos de mon internat, me glissant hors du lycée dès que mon emploi du temps le permettait. Temps passé à dessiner, discuter de tout et de rien... Hugh était fascinant, tellement décalé et retiré du monde... Premiers émois homosexuels dans la lumière tamisée de sa chambre, premier plaisir dans ce qui avait un goût d'interdit, à l'abri des regards... et première rupture, mal vécue car incomprise. Du jour au lendemain, plus de nouvelles, plus rien. Après ces heures passées à discuter sur msn, ou à s'envoyer des sms, nulle réponse, et je ne trouve que porte close quand je veux le voix, et le visage fermé de sa mère qui se refuse à me donner des nouvelles et à me laisser entrer. Première déception sentimentale qui ne m'a pas donné envie de faire plus que de m'amuser dans les relations à présent.

Heureusement pour mon coeur meurtri, mon père fit sauter rapidement son affectation en Alaska, me permettant de quitter New York et les souvenirs désagréables qui allaient avec. J'ai de nouveau quitté les états unis pour aller à un endroit que je ne connaissais guère : le vieux continent, plus précisément l'Allemagne, où je restais l'année de mes 18 ans, à nouveau inscrit dans un lycée américain. Cette année là... je me suis amusé, avec les filles, jamais les garçons, trop échaudé par ma première histoire. Ca a marché, et moins bien marché, mais j'ai réussi à laver mon coeur de ma dernière histoire. Cette année est passée bien trop vite à mon goût, me faisant terminer le lycée en me laissant toutefois un peu perdu sur ce que je devais faire de mon avenir : j'adorais les langues comme les sciences, sans arriver vraiment à me poser sur ce que je voulais faire. L'idée de choisir – vraiment – quelque chose sur lequel reposerait tout mon avenir me tétanisait.

La nouvelle affectation de mon père, Yokota, au Japon, me donna sans le vouloir la solution. Il y avait certes des lycées au Japon, et des universités, mais il semblait un peu hors de propos que je commence des études supérieurs loin des USA. Du coup, je choisis la solution de l'année sabbatique. Enfin, sabbatique, pas complètement puisque je continue à prendre des cours du soir pour ne pas perdre mon niveau scolaire. J'ai trouvé mon bonheur à Hachioji : un job dans un magasin de musique, et le lycée qui donne les cours du soir me sert aussi d'hébergement. Expérience intéressante.

Compétences particulières
Niveau scolaire : très bon (93 pour 100 pour adapter à la notation japonaise )
Langues parlées :
- Anglais, russe et japonais courant
- Coréen et allemand : bonne pratique orale, mais écrit non maîtrisé
Niveau sportif : Tennis à un bon niveau amateur
Autre : Saxophoniste de bon niveau

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Le Staff
Administration
Compte commun




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MessageSujet: Re: Brian Merricks   Brian Merricks EmptyMar 1 Fév - 11:22

Notre premier rônin o/

Welcome aboard, jeune homme. Je te donne de ce pas ta couleur. Tu seras en chambre 101, étage des garçons évidemment.

Amuse-toi bien ^^
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Brian Merricks

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