{ Gabriel Ritter } Nom : Ritter Prénom : Gabriel Âge et date de naissance : 35 ans, 18 aout, Lion. Nationalité(s) : Allemand Métier : Photographe de guerre, reconvertit en bibliothécaire

En savoir plus... Votre pseudonyme : Plumy Votre âge : Plus jeune que mon perso ! Comment avez-vous connu le forum ? Dans ma barre de favoris. D'où vient l'avatar de votre personnage ? Dessin de Flayu sur Deviant art

Fouineur, curieux et clairement fouteur de merde, il n'y a rien que Gabriel aime tant que de faire éclater les vérités au grand jour et changer les choses. Son métier est l'essence même de sa nature, lui permettant de s'épanouir continuellement. Même si les années ont adoucit son impétuosité, il reste une sacrée tête de pioche.
Sociable, il surprend parfois en société par son impétuosité et ses colères, ayant depuis longtemps renoncé à se canaliser. Il est d'ailleurs connu dans son milieu pour son caractère impétueux et frondeur. Mais les mêmes qui le décriront ainsi concluronts que c'est un brave gars et qu'il est bon de l'avoir en ami.

Gabriel est un homme passion et obstiné, qui est prêt à beaucoup pour défendre ce en quoi il croit. C'est le genre de type capable de rallier des gens derrière lui, de lancer des mouvements de grève de la faim ou de garder le sourire même en étant otage lors d'un conflit. Jusqu'à présent, il s'en est presque sortit indemne. Modeste et direct, il n'a jamais voulu être glorifié pour ce qu'il faisait et n'en tire pas fierté. Il aime juste ce qu'il faisait.

Il aime que les choses soient claires et ne supporte pas les mensonges. Il n'y a rien qu'il aime tant que de révéler la vérité au grand jour. Lors de ses voyages, il a pris gout à plusieurs pratiques plus ou moins originales, adoptant de ci de la des habitudes de vie qui peuvent surprendre, prenant par exemple plaisir à la méditation en extérieur, ou remerciant l'animal tué avant de le manger. Il n'a par contre jamais réussit à cesser de fumer.

Gabriel aime la photographie, et les appareils sous toutes leurs formes. Il a vécu le passage au numérique, mais n'a jamais abandonné les vieux appareils à pellicule qui ont eux aussi leur charme. Il aime également la nature sous sa forme la plus primaire, et prend plaisir à entretenir des plantes en pot depuis qu'il ne voyage plus, en particulier les bonsaïs. Même s'il ne voyage plus, il se tiens très au courant de l'actualité et suit plusieurs journaux et sites internet très régulièrement. Il communique avec des connaissances à travers le monde entier, notamment avec un ami moine vivant au tibet, et une ex indienne qui tiens une école pour enfants défavorisés.



1m92, large d'épaule et la posture décontractée, Gabriel incite à la sympathie, notamment parce que l'on n'a pas envie de s'en faire un ennemi. Son regard bleu transparent lui donne l'air typé des allemands, même si sa peau elle est tannée par le vent et le soleil. Ses cheveux, autrefois longue tignasse de dread lui tombant dans le dos, ont été coupés à la mort de sa femme et lui tombent maintenant dans la nuque en boucle fines et désordonnées qu'ils ne cherchent pas à canaliser.
Son regard clair peut devenir perçant lorsque la douleur ou le manque le tenaille, et il n'est alors pas bon de trop l'ennuyer.

Il s'habille de manière décontractée et même un peu "jeune" pour son age, la plupart du temps en tee shirt et jean troué. Boite la plupart du temps de manière discrète et un peu plus marquée lorsqu'il a du faire un effort. Il lui arrive parfois d'utiliser une béquille pour marcher, mais il déteste ça. Il a des manières décontractés, étant du genre à mettre les pieds sur la table ou à s'assoir dans la poussière sans gêne.

Il ne porte pas de bijoux, à l'exception de son alliance en or blanc qu'il garde toujours au doigt et un authentique collier de perles bouddhiste dont il se sert pour la méditation et qui reste sinon accroché au dessus de son lit.



Parmi tous les fils et filles de médecins qui, bien évidemment, souhaitent que leur progéniture suivent le même chemin glorieux qu'eux, il s'en est toujours trouvé pour dire non à un avenir tout tracé, par pur esprit de contradiction ou par réelle volonté. Gabriel fait partie de ceux-la.

Pourtant, comme son père, il voulait aider les gens. Mais pas de la même manière. Ayant grandit en Allemagne de l'ouest, il fut vite frappé par la scission de son propre pays, ou l'est était comme un pays à part, plus pauvre et démuni. A plusieurs reprises, il se fendit d'articles plus ou moins cinglant sur le sujet dans le journal de son lycée, jusqu'à ce que lui demande de se calmer un peu, la délation n'ayant jamais été très bien vue. Pourtant, la vérité, Gabriel l'aime, surtout quand elle peut aider l'humanité. La ou son père soignait une par une les personnes venant à lui, Gabriel voulait voyager et dénoncer, rapporter aux pays riches la vérité du reste du monde.

Lorsqu'il entra en école de journalisme, crachant sur la fac de médecine, leurs relations devinrent plus tendues que jamais, et ils évitèrent autant que possible de se croiser, même si son peur n'alla jamais jusqu'à lui fermer la porte. Mais dès qu'il lui fut possible, Gabriel préféra vivre seul, malgré son affection pour sa mère qui elle l'encouragea toujours, même si discrètement.

Durant ses études, Gabriel s'investit durant plusieurs conflits internes sociaux, ne parvenant jamais à rester en place. Il passa son permis de moto et voyagea très vite à travers l'europe, puis plus loin encore, découvrant d'autres cultures. Dès que ce fut possible, il gagna le frond des batailles pour exercer le métier de journalisme de guerre. Il fut pris sous l'aile d'un vieux journaliste habitué du terrain et amoureux de la guerre, qui lui appris certaines prises d'auto défense qu'il utilisa par la suite plus souvent qu'il ne l'aurait imaginé. Après avoir été en danger pour la première fois, Gabriel pris des cours d'auto défense et de cappoera, et pris aussi l'habitude d'entretenir sa musculature.

Alors qu'il était jeune journaliste de guerre, il eut quelques histoires avec le FBI, et crut ce jour la être allé trop loin : L'interrogatoire musclé qu'il subit resta longtemps gravé dans sa mémoire, et il apprit à se montrer plus discret... Mais pas moins curieux.

Petit à petit, cette énergie débordante trouvait à se canaliser. La guerre, l'action incessante, c'était une sorte d'adrénaline. Quelque chose dont Gabriel avait du mal à se passer. Lorsqu'un conflit se terminait et qu'il se retrouvait "à la maison", il avait du mal à rester inactif. Il lui semblait que son énergie ne parviendrait jamais à être canalisée.

C'est sur un champ de bataille qu'il a rencontrée Honoka. La bas, tout est plus rapide et plus intense, l'amour comme la peur. La franche amitiée qui naquit entre eux devint vite une relation passionnée, l'un équilibrant l'autre. Durant plusieurs années, leur relation fut très libérée, se débrouillant chacun pour aller sur les mêmes lieux, travaillant ensuite en duo - ou pas - puis se retrouvant de nouveau séparés pour plusieurs mois...
Ils choisirent finalement de se marier. Un mariage arrangé en inde, rapidement, auquel Honoka fut d'ailleurs en retard, sous les rires de Gabriel. Sa femme était tellement libérée et loin des clichés japonais qu'il peinait parfois à la croire japonaise. Il rencontra ses parents, auprès desquels il réussit à se faire accepter au bout d'un certain temps grâce à sa droiture d'esprit. Même si les parents d'Honoka n'avaient jamais réellement voulu que leur fille vive un métier si dangereux, ils étaient heureux de savoir qu'elle avait trouvé l'âme sœur de cette manière. Il devint par la suite fréquent pour le couple de se retrouver au japon lors de leurs périodes de repos, même si plus d'une fois ils quittèrent les lieux précipitamment.

Il assista à de nombreux conflits, à des moments aussi terribles que poignant. Il photographia des mourants avant de fuir en aidant un vieillard à courir. Il appris à piloter un hélicoptère. Il a vu un collègue se faire tuer à bout portant par un soldat. Il se fit racketter par des enfants pas plus haut que son épaule. Il dormit dans une grotte alors que dehors la neige recouvrait tout. Il lui arriva de prendre lui aussi une arme pour seconder les militaires qu'il était en train de photographier, pour survivre. Il s'accrocha toute une nuit sous un pont avec Hanako contre lui. Une vie physique et prenante qui ne lui laissait guère le temps de se poser. Mais cela lui convenait parfaitement, et c'était lorsqu'il se retrouvait en milieu dit civilisé que Gabriel avait, au final, le plus de mal à se sentir à l'aise.

C'est lors d'un conflit armé en Égypte qu'ils se retrouvèrent pris dans un attentat. Séparés lors d'une explosion, Gabriel serait mort sans l'intervention des forces de l'ONU. Il appris par la suite la mort de sa femme et le grave état dans lequel se trouvait sa jambe. Incapable de marcher seul, s'ensuivirent de longs mois de rééducation.
Gabriel avait déjà été blessé par le passé, plus ou moins gravement, et avait expérimenté de nombreuses fois l'hôpital pour des raisons diverses et variées. Mais cette fois-ci, le jeune homme avait été anéantit. Il avait vu la mort de trop près.

De toutes manières incapable de retourner sur le terrain, il choisit de s'accorder quelques années de répit. Il se coupa les cheveux, et retourna au japon pour les funérailles de sa femme, ou il se vit accueillir à bras ouverts par sa belle famille. Il resta longtemps chez eux, pour se reposer et se ressourcer.

Il ne regagna pas totalement sa tranquillité d'esprit, faisant de fréquents cauchemars. La douleur dans sa jambe le réveillait parfois, le conduisant lentement à devenir accro de divers opiacés comme l'actiskenan qu'il consomme à outrance.

Incapable de rester inactif, il chercha un poste reposant qui lui permettrait de reprendre le contrôle du cours de sa vie. C'est presque par hasard qu'il appris qu'un établissement scolaire recherchait un bibliothécaire. C'était incongru, mais l'idée le charma. De toutes manières, il quitterait les lieux dès qu'il en aurait assez.

Compétences particulières

Parle couramment l'allemand, l'américain ainsi que le japonais, qu'il a appris avec sa défunte femme et lors de ses nombreux séjours au japon.
Pratique la cappoera et connait de nombreuses clés d'auto défenses. Sait recharger une mitraillette et piloter un hélicoptère de manière sommaire.
A son permis moto.

Tiens, un allemand ! Voilà qui nous change o/

Nous voilà avec un bibliothécaire qui a de la classe : tu es évidemment validé [je n'écris pas "de ce pas", tu vas encore lire de travers sinon ).

Appartement n°2 pour toi, avec Cathan et Radha.

Amuse-toi bien.