{ Yuhei + Detsuda } Nom : Detsuda Prénom : Yuhei Âge et date de naissance : 10 Juin 1992, 18 ans Nationalité(s) : Japonaise Classe : Seconde année Club(s) : Journalisme (Vice-président ?)

En savoir plus... Votre pseudonyme : Shusaku Votre âge : 23 ans Comment avez-vous connu le forum ? J'ai déjà un personnage ici. (Hasegawa Yuusuke) D'où vient l'avatar de votre personnage ? Miharu Rokujô - Nabari No Ou

Reflet de son histoire si particulière, son caractère est celui d'un être qui croit fermement à l’avènement d'un monde ou les frontières deviennent confuses pour laisser les peuples se rencontrer pour le meilleur comme pour le pire. Influencé par des inspirations aussi diverses que variées, mêlant l'apprentissage des classiques gréco-romains, l'influence constante des cultures occidentales, le contact quasi-charnel avec la société arabe et l'amour de ses origines nippones, c'est un garçon au reflet de ce que permet aujourd'hui le monde.

Influencé par cet héritage riche et dense, paradoxale par sa multiplicité, uni par un facteur commun et inaléniable, l'humanité, il en ressort un être tout à fait étonnant. Parfois maladroit et un peu perdu entre les diverses interprétations que peuvent lui donner les modèles qu'on lui a offert d'étudier, il peut se révéler particulièrement original face à des problèmes aux apparences insolubles.

Dans son cœur bouillonne une étrange énergie, quintessence des riches expériences qu'il a acquit durant le début de son existence. Son esprit est inspiré à la fois par la beauté des paysages de la Djézireh, par l'histoire de Pline que par les défilés de processions lors de festivals japonais.

Au sein de la société nipponne, il doit souvent demeurer conscient de l’élégance avec laquelle il doit exprimer l'exotisme de sa pensée. Et si l'exercice est encore pour lui une chose difficile qui le met parfois dans des situations gênantes, il apprend avec toujours le même appétit de cette société que cela soit autant à l'aune de ses qualités qu'à l'ombre de ses défauts.

Avec ses camarades, il s'entend à un comportement d'approche standard ou il fait force de discrétion quand à son passé un peu particulier. Mais quand il se lie de confiance avec ces derniers, il laisse alors peu à peu sa culture s'exprimer.

En fin de compte, il heurte autant qu'il concilie. Comprenez qu'il choque les esprits les moins agiles de part ses originalités et qu'il parvient souvent à faire le pont entre les différences qui peuvent séparer les êtres.

Il est déterminé à voir le monde comme quelque chose qu'il faut mieux voir du meilleur angle. Par cela, voyez qu'il appréciera toujours une vision qui lui conviendra le plus. Cela exacerbe son image très individualiste en porte à faux avec son adresse sociale.

Certains le taxe d'un positivisme se bornant parfois à l'absurde. Cela le fait profondément rire, non pas qu'il nie ces dires mais il les oppose bien souvent à des points de vues tout aussi absurdes et partisans tenus par ces mêmes personnes dénonçant son absurdité.

Le jeune garçon a une fâcheuse tendance à se faire l'avocat du diable, à démontrer et à déjouer les facilités dans lesquels peuvent tomber les pensées humaines. Néanmoins, c'est une envie qu'il retient en particulier depuis son retour au Japon car il sait que ce rôle d'agitateur de pensées n'est pas quelque chose de bien vu dans cette société.

C'est un être à la fois passionné, critique et attentif. Il l'est même parfois un peu trop. Son regard acéré et affûté sur le monde peut blesser et révolter sans qu'il ne s'y attende.

Depuis son retour au pays du soleil levant, il doit faire face à un nouveau défi, celui de s'intégrer dans une société pour y être reconnu comme un membre influent pouvant y avoir une activité. Quoi qu'il en soit, à n'en point douter, Detsuda est un jeune garçon qui croit fortement en la richesse de chaque être, en la beauté de l'humanité et en son existence.


Ses grands yeux marrons-verts sombres gardent une lueur curieuse et animé qui ne vacillent qu'en de très rares occasions. Ses expressions du visage nombreuses et fortes sont difficilement lisible de par l'étrangeté de ces derniers inspirés des multiples influences auquel il a été soumis. Ses cheveux bruns foncés sont souvent mal peignés et laissés à la vie sauvage du moment que ces derniers ne le mènent pas au ridicule et lui donne un air dans le "vent".

De sa vie quelque peu aventurière, il garde un physique nerveux et fin. Doué d'une musculature ciselée et vive, il n'a pas un seul gramme de graisse sur la peau. Sa silhouette est un peu fuyante et son corps est en pleine croissance. Son teint halé s'est un peu passé depuis qu'il est de retour au Japon mais il reste tout de même plus mate que les gens de la région. Ses gestes et son allure sont d'une économie extrême qui n'est pas sans une certaine élégance. Et même quand il cède à un effort sportif, il n'admet aucun mouvement de trop. Il apparait en fait comme un mélange étrange entre la silhouette naturellement nipponne et la démarche sèche et caractéristique des gens de la péninsule arabique.

Pour refuser de se laisser aller dans une vie physiquement moins exigeante, il s'active autour de ce qu'il a toujours le plus pratiqué durant son enfance, le football. Souvent seul jeu des camarades que le japonais fréquentait dans son passé, il n'entend pas particulièrement grand chose aux autres sports. Ayant réussit à motiver quelques amis à cette occupation, il lui arrive de jouer quelques matchs sur une moitié de terrain. Là encore, ce n'est pas tant par son adresse particulière ou une force quelconque qu'il se caractérise mais par sa réserve et son endurance en tout point étonnante. Jouant souvent la prudence, il finit toujours par gagner ses duels si ces derniers s'éternisent.

Il porte l'uniforme scolaire sans modification mais avec un léger manque de soin l'amenant souvent à ouvrir quelques boutons au niveau de sa gorge, à mal remettre son col ou à remontrer ses manches. Les vêtements officiels et d'événements particuliers ne lui vont pas formidablement bien. Sans doute parce qu'il en fait peu cas.

Au contraire, ses vêtements de tous les jours sont souvent très élégants, oscillant entre un ensemble d'étudiant anglais, le port de chemises lâches et décontractés aux couleurs vives ou encore en de plus rares occasions, la tenue de vêtements aux coupes purement arabiques, de préférence dans l'intimité. Ses goûts sont aussi hétéroclites que ses inspirations sont nombreuses. Même s'il n'est jamais apparu dans une tenue d'inspiration américaine, genre qu'il n’apprécie guère.



Ses grands yeux dévorèrent le monde avec intérêt dès ses premiers instants. C'est du moins ce que son père ressentit quand il vit pour la première fois le bébé le fixer de ses deux immenses océans bleutés. (Tous les enfants qui viennent de naitre ont les yeux bleus.) Cette impression qu'eut Yuuichi ne devait pas s'avérer détrompé par la suite.

Yuhei fut élevé dans un étrange décorum, loin du quotidien nippon, il vécu ses toutes premières années dans un univers bien loin de la société occidentale. Son père était un archéologue japonais qui s'était très vite expatrié en France pour y faire ses études avant de voyager autour de la méditerranéen orientale ou il rencontra la mère de Detsuda, Tachibana Ruri. Cette dernière était une reporter de la télévision japonaise, envoyée spéciale dans le proche-orient.

Les deux personnes se plurent bien vite car ils partageaient tout deux un goût profond pour l'exotisme et un paradoxal amour pour leur patrie. Se découvrant une complicité surnaturelle, les deux êtres décidèrent de se lier. Aucun des deux ne voulaient céder à sa propre carrière, ils formèrent donc un couple moderne à la cellule familiale mouvante et fluctuante.

C'est dans cet univers un peu particulier que naquit Yuhei. L'enfant vécut jusqu'à l'âge de 16 ans avec son père, l'accompagnant sur ses sites de fouilles, suivant une éducation par correspondance, partageant la vie des enfants locaux, faisant parfois face à la violence de la région. Une violence bien souvent atténué par des expériences autrement plus positive et par le dialogue constant entre lui et ses parents. Sa mère les rejoignait quand elle n'était pas appelée à ses devoirs journalistiques.

Gratifié de parents aimant et attentif à son éducation tant intellectuel que sentimental, il n'eut presque jamais à souffrir de cette vie un peu particulière, ses parents très occupés par leurs travaux répondaient le plus souvent présents quand l'enfant en ressentait le besoin. En dehors de ces instants, il profitait d'une liberté d'actions que peu d'enfants connaissent alors, gagnant son autonomie avec une relative précocité. Durant les vacances, il s'engageait de lui-même à rejoindre ses grands parents dans la région de Kyoto ou il pouvait approcher et connaitre sa culture d'origine tout en goûtant à un cercle familiale plus stable et plus traditionnel.

Somme de l'enrichissement de deux cultures différentes, poussé par un fort sentiment d'appartenance à un monde aux frontières de plus en plus factices, il se passionne durant son adolescence pour l'histoire comme moyen de compréhension, internet comme moyen de communication et le journalisme comme moyen d'information.

Entendant les aspirations de son fils, les deux parents lui proposèrent alors de repartir finir ses études au Japon pour y recevoir les diplômes nécessaires à ses ambitions. Le choix se porta sur la Ginkgo car la réputation de cette dernière était parvenu jusqu'à ses grands parents. Il en fut décidé ainsi et l'adolescent rentra ainsi en première année.

Pendant celle-ci, le jeune garçon s'intégra plus ou moins au modèle éducatif japonais. Seul sa capacité à relativisé le monde autour de lui, lui permit de ne pas se mettre totalement en porte à faux avec l'éducation classique.

Néanmoins, sans inspirer une impression d'insolence comme il en nait souvent face à un genjin, il garda tout de même une réputation "d'exotisme" chez les professeurs et les élèves. Posant souvent des questions à la fois pertinente et aux apparences saugrenues, utilisant des tournures de phrases bien souvent influencées par sa seconde langue, l'arabe, chantonnant des airs "orientales" ou citant quelques auteurs grecs et latins. De toute évidence, son héritage intellectuel n'est pas le fruit d'une éducation nationale et formative mais bien une éducation unique.

De part ses inspirations, il s'inscrivit au club de journalisme. Il est alors repéré par le président de troisième année qui le forme à le seconder. Le jeune garçon se retrouve vice président d'un petit groupe très réduit qu'il peine à réunir encore aujourd'hui autour d'une publication régulière. Se déjouant de ce problème, il a lancé récemment un site internet sous la forme d'un blog informatif qu'il ne manque pas d'annoter tous les jours de nouvelles infos sur le monde qu'il soit scolaire, national ou international.

Compétences particulières

Parle anglais avec un accent à couper au couteau.
Parle couramment l'arabe.
A d'horribles notes en math en dehors des statistiques
A un niveau excellent en Sciences sociales, dans les langues (sauf à l'Oral) et en Art
Il combat avec courage les Sciences où il s'entend à garder une moyenne supérieure à 75/100.
Son niveau scolaire est resté très fluctuant durant toute sa première année. Depuis le début de la seconde année, ce dernier tant à se régulariser dans les canons japonais.
Moyenne globale de 75/100

Rebienvenue sur le forum Yuhei^^

Tout semble bon, je te valide donc. Tu rejoins Ethan en chambre 104, n'oublie pas de l'indiquer dans ton profil et amuse-toi bien^^

PS : Ah non, petit oubli. Même si tu es déjà validé, pourrais-tu mettre la moyenne générale de ton perso s'il-te-plaît ? En pourcentage.

Alors bienvenue )

welcome o/

Rebienvenue o/

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