{ Sakurina Mori } Nom : Mori Prénom : Sakurina Âge et date de naissance : 18 ans, 15 Juillet 1993 Nationalité : Japonaise. Classe : 2-A Club : Musique

En savoir plus... Votre pseudonyme : Kyouki Fujiwara, anciennement Majoren. Votre âge : 18 ans. Comment avez-vous connu le forum ? Par l'admin (Inscrite, puis absente pour raisons personnelles, et réinscrite sous un autre pseudo mais même perso.) D'où vient l'avatar de votre personnage ? Artiste : Mastuda.

Il faut avant tout savoir que les goûts peuvent parfois définir le caractère des gens. En l'occurrence, au premier abord, une simple description physique de Sakurina pourrait donner une idée presque exacte de son caractère. Elle est douce et calme, pour commencer. Ça n'est évidemment pas une sainte quoiqu'elle s'en approche, et encore moins une poupée sans sentiments ni réactions humaines : elle s'en voudrait d'être ainsi. Mais Sakurina aime être propre sur elle, et sans parler de pureté virginale, l'image « parfaite » qu'elle dégage lui convient. Malgré ce caractère calme, la jeune fille reste néanmoins profondément passionnée : elle s'engage véritablement dans ce qu'elle aime, ce qu'elle choisit, et lorsqu'elle le fait, n'en démord pas. Un véritable personnage de drama, tout ce qu'il y a de plus cliché. Lorsqu'elle parle, Sakurina aime utiliser des mots élégants. Pourtant, ses origines modestes l'ont habituée à quelques jurons qu'elle regrette bien souvent. Oh, rien de très violent, mais il lui arrive de se frapper sur le dos de la main après avoir proféré quelques mots tels que "grosse tanche".
La douceur qu'elle semble incarner n'enlève rien à son enthousiasme. Elle aime partager, surtout sa joie, et amener le bonheur chez les autres. Cependant, petite chose qui pourrait noircir le tableau, elle est très rancunière et porte une attention particulière à son instinct. La jolie lolita peut difficilement se défaire d'une mauvaise image qu'elle aurait d'une personne. Gagner sa confiance est compliqué, même si, dans un premier temps, la demoiselle semble amicale. Elle n'aime pas se compliquer la vie avec des histoires trop perturbantes, et tient à sa tranquillité.

Sakurina trouve toutes les personnes normales trop compliquées pour elle. Par exemple, elle ne comprend pas pourquoi il faudrait se définir, trouver des mots à mettre sur son caractère, ou même sur son attirance sexuelle. Il faut vivre au jour le jour, et profiter des plaisirs simples de la vie. Et pour elle, cela passe par ne pas voir toujours le monde en noir et accepter les choses comme elles viennent. En quelque sortes, Sakurina est une stoïque doublée d'une extraordinaire optimiste. Sauf en matière d'esthétique.

Sakurina est une passionnée d'esthétique. Pour elle, il doit y avoir quelque chose de beau en tout. Et pour cause, elle peint, dessine, photographie … Une vraie artiste polyvalente. Le monde est beau, mais pourquoi ne pas en créer un autre, parallèle, où nos désirs deviendraient réalité ? Ajoutons à cela une attirance extrême pour la musique, qui l'ont poussée à pratiquer à la fois le chant, le violon, le piano (avec une petite préférence pour le clavecin tout de même) et la composition, un amour de la couture, qui malheureusement n'est pas accompagné d'un génie égal à celui qu'elle semble posséder pour les activités nommées plus tôt.
De quelque sorte que ce soit, il faut bien comprendre que le caractère est celui que l'on collerait à l'image d'une « Lolita ».



De par ses origines japonaises, il est évident que Sakurina n'est pas une grande blonde aux yeux bleus. Juste une petite blonde aux yeux roses grâce à des lentilles. Reprenons plus en détail, pour de meilleures explications.

Sakurina, à l'origine, avait le physique type de la japonaise. Petite, fine, aux cheveux et yeux foncés. Mais elle est une anticonformiste dans l'âme ! Si cela ne se voit pas sur elle actuellement, il semble que cela ne se verra jamais. Alors après maintes heures chez le coiffeur et plusieurs expériences catastrophiques et plus réussies chez elle, la petite Sakurina arriva à un blond platine presque blanc. Une aubaine pour colorer ses cheveux dans des teintes inimaginables. Vous n'imaginez pas le désespoir lorsqu'elle apprit que l'école dans laquelle elle se rendrait interdisait cela ! Néanmoins, elle aime son blond/blanc. Puis, notre esthète découvrit les « circle lenses » coréennes. Encore un coup de coeur, des lentilles qui agrandissent les yeux et peuvent même changer leur couleur ! Vous n'imaginez même pas l'état d'excitation de la demoiselle. Une grande invention que ces parfaites petites lentilles. C'est pourquoi à présent, les yeux de Sakurina sont toujours assortis avec ses vêtements, ou bien avec son humeur. Originellement marrons, ils ne le sont à présent qu'en automne, pour « coller avec la thématique ». Sa peau étant claire d'origine, la petite japonaise (un mètre soixante deux tout de même) n'eut pas à se cloîtrer pour remédier à cela.

Côté vestimentaire, un mot seul et simple définit Sakurina. Lolita. Dessous à volants, bloomers, jupons, robes parfois gourmandes, d'autres fois plus sobres et sombres, fleuries, la petite japonaise ne manque pas d'imagination pour créer ce qu'elle appelle des « coordinations » parfaites. Assez sobre au niveau des couvre chef, préférant les nœuds et bandeaux et autres headdress, elle est néanmoins une vraie accro aux sacs et aux bas. Ses imprimés préférés sont les notes de musique, les motifs plus victoriens, les roses, mais aussi les fruits, fraises et cerises, ainsi que les carrousels.
Cependant, Sakurina aime aussi la mode d'une manière générale. Et même si elle porte en permanence du Lolita, elle aime également aller dans une sobriété relative, toujours assez mignonne. Dans ces cas là, elle aime s'inspirer de la mode gyaru. En bref, elle peut être assez polyvalente, et tente de s'adapter,



Sakurina est née un 15 juillet 1993 dans une petite maison de campagne qu'elle pouvait vaguement situer à Hokkaido. C'était les vacances, il faisait chaud, ses parents étaient partis avec sa petite sœur de huit ans, et sa mère était enceinte. Et ce qui devait arriver arriva, en plein repas de famille, lors de l'anniversaire, fêté une fois de plus en retard, de la grand-mère, Misato perdit les eaux. Misato, c'est la père de Sakurina. Une jeune femme pleine de bon sens ayant cédé au harcèlement de son mari qui se sentait coupable de ses absences régulières aux anniversaires et autres rassemblements familiaux. Pour résumer, la venue au monde de ce bébé tomba assez mal, comme calculée, et excita la famille toute entière. Seule une sage-femme malhabile, cousine lointaine de M. Mori osa approcher Misato qui, en proie à une grande colère, s'était mise à insulter les meubles. Tout cela se fit sans accroc ou presque, tout le monde en prit pour son grade. Un bazar incommensurable en guise de naissance, en quelque sorte. Et qui donc aurait pu se douter que ce serait à l'image de l'éducation du nouveau né ? Peut être la grand-mère, mais, seul prétexte à la bonne nourriture, elle ne put prévenir personne. Elle mourut d'ailleurs quelques jours plus tard.

A l'instar de cette arrivée en fanfare, l'éducation de Sakurina fut compliquée. Elle n'aimait pas être comme tout le monde, et ce depuis son enfance. Autant sa sœur réussissait partout, suivant ce que voulaient ses parents, autant Sakurina, elle, s'acharnait à travailler que lorsqu'elle le voulait, dans les matières qui lui plaisaient. Ce n'est pas pour autant qu'elle ne grandit pas dans l'amour de ses parents et de sa sœur ! Chacun y trouvait son compte. Déjà très douée pour les arts, elle peignait des répliques de peintures que sa mère aimait pour décorer le salon, permettant à son économe de génitrice d'utiliser plus d'argent pour habiller ses filles, et nourrir tout le monde lors de nombreuses réunions de famille. Son père, lui, pouvait se vanter au travail d'avoir une fille très sérieuse, et une autre un peu plus folle, une « artiste dans l'âme » comme il aimait à le dire. En réalité, M. et Mme Mori ne comprenaient pas très bien ce qui se passait dans l'esprit de Sakurina, ni même d'où venait son inspiration – ils prenaient d'ailleurs assez souvent peur en voyant les toiles qu'elle réalisait pour son propre plaisir – mais ils faisaient confiance à leur autre fille, Emiko, qui leur affirmait qu'elle était parfaitement normale.

Les deux soeurs étaient assez proches. Elles rigolaient des mêmes choses, et la grande maturité de Sakurina dès son plus jeune âge lui permettait d'accepter sa présence devant ses amis. Ce n'est pas quelque chose dont tout le monde peut se vanter. Lorsque Sakurina grandit, elles passaient toujours autant de temps ensemble. Ce fut d'ailleurs Emiko qui l'encouragea dans sa quête du Lolita, et qui l'aida dans ses grands instants diplomatiques avec ses parents. Bien évidemment, ce fut compliqué : pour ses parents, c'était une nouvelle frasque, une lubie qu'ils ne comprenaient pas vraiment.
Pourtant, cela faisait partie de la vie et du caractère de Sakurina qui, dès ses 14 ans, put acquérir en cachette sa première robe, de marque. Après quelques temps, elle se mit même à la couture, ce qui, une fois de plus, arrangea sa mère qui en avait assez de payer pour faire reprendre les pantalons de son mari qui se laissait un peu trop aller côté nourriture.

Côté social, il faut bien avouer que Sakurina ne rivalisait pas avec les grandes populaires de l'école. Personne, dans tout Osaka, ne trouvait grâce à ses yeux. Pour elle, il était difficile de comprendre les discussions des gens autour d'elle, n'ayant aucun intérêt pour les choses communes. Alors entendre parler du dernier chanteur à la mode, pour elle, c'était comme entendre parler Allemand ! Elle préférait tellement le Français et l'Anglais ! C'est ce souci de sociabilisation qui inquiéta M. et Mme Mori. Le départ d'Emiko en Corée du Sud pour terminer ses formations et travailler la laissa seule et sans véritables amis. A 16 ans, se retrouver ainsi, ils trouvaient cela malsain. Aussi, ils décidèrent d'observer la façon dont elle réagirait. Mais elle n'allait pas plus vers les gens qu'auparavant, et se renfermait dans ses passions, seuls moteurs de sa vie. C'est pourquoi, lorsqu'elle eut 17 ans, ils l'envoyèrent, pour la nouvelle année scolaire, dans un internat, qu'ils choisirent aux jets de dés sur une brochure spécialisée. Leur « choix » se porta sur Ginko Gakuen.

Compétences particulières

• Chant : 9 ans, très douée.
• Piano : 8 ans, de même.
•Violon : 11 ans. Idem.
• Parle assez bien le Français et l'Anglais. Une vraie catastrophe dans les autres langues, avec de nombreuses tentatives infructueuses pour apprendre l'Espagnol et l'Allemand.
• Photographie : Aime poser plus que photographier, mais polyvalente.
• Peinture : Pratique depuis qu'elle peut tenir un pinceau.
• Dessin : Idem.

• Peu douée dans les matières scientifiques. Résultats proches du catastrophique.
• Assez moyenne dans les sciences humaines en général.
• Très douée dans tout ce qui est en relation avec les Arts et l'expression.
• Une moyenne donc d'environ 70/100.

Non, ça ne pose pas de soucis ;) Je te remets dans ta classe d'origine qui correspond à ta date de naissance, à savoir la 2-A.
Tu es officiellement - à nouveau - validée

Tu seras chambre 208, bon jeu :3

Merci beaucoup :)

Re bienvenue à la maison 8D

Hell'come

Bienvenue : 3

Bienvenue

Welcome back \o/

Bienvenu =3

Encore Merci à tous pour cet accueil :)

Bienvenue ! ^^

Salut et bienvenue.
Au plaisir de te croiser en rp. Amuses toi bien.

Bienvenue )

Majo o/ Rebienvenue sur le forum^^

Bienvenue! =)

Bienvenue! ;)