Recherche de "ça" (PV Maj, Scénario et express)

Invité

Kerishu se promenait dans le parc. Le soleil était de la partie, l'air étant léger et agréable en ce début de journée d'avril. La rouquine, qui, pour une fois, avait décidé de se lever tôt, avait vite porté son choix sur le parc du pensionnat.

L'air endormi, les cheveux en bataille et les mains dans les poches, Kerishu flânait sur le gazon vert, sans prêter attention au chemin qu'elle prenait. C'est alors qu'elle entrevu un cerisier en fleurs en plein milieu. La jeune femme s'allongea dans l'herbe, les bras croisés sous sa tête rousse, protégée du soleil par les branches du sakura.

Quelques minutes plus tard, Kerishu se releva et s'assit en tailleur, l'air toujours endormi. Elle observait le parc désespérément vide. Une fois ou deux, un couple buissonnier passa devant elle, avec des sourires coquins.

C'est alors qu'elle la vit : *Oulah... Elle a l'air encore plus encore en colère que d'hab'... Ça va pas l'faire...!!"

Invité

Pourquoi fallait-il que ces saletés de Loups Phoques s'attaquent à elle ? ils allaient en voir, des choses, de la part de la brune. La faire aller au parc, elle qui ne supportait que rarement d'y aller, haïssant ces espèces de boulets qui se baladaient la main dans la main. Ces tourtereaux étaient insupportables. Vraiment, leur vue la dégoûtait. D'autant plus qu'elle était encore plus énervée que d'habitude. Elle avait envie d'en frapper un pour se calmer. Son pas était rapide, et exprimait sa colère.

Il était vital pour elle de retrouver ce qu'elle cherchait, sinon, elle se ferait remarquer, et arrêter par l'école qui découvriraient ce qu'elle avait caché dans son casier, ce qui était à proscrire. Il ne lui fallait pas se faire remarquer, sinon, elle aurait de véritables problèmes par la suite. Son regard était figé sur le sol, tandis qu'elle cherchait et, au moment où elle leva les yeux, elle vit une amie, Kerishu, évidemment. Elle eut comme un instant de réflexion. La rouquine était l'une des rares personnes à la connaitre sous son véritable aspect, alors peut être avait-elle vu quelque chose, si elle lui demandait. Aussi, elle s'approcha, et lui demanda, sa voix ne cachant pas sa colère, mais qui ne lui était pas destinée.

- Salut. T'aurais pas vu des p'tits cons avec mes doses ? Enfin, tu sais quoi, ce que j'ai dans'l'casier.

Elle le savait sûrement, elle était l'une des rares personnes qui le savaient et qui gardaient cela pour elle. Au moins, ce n'était pas Kerishu qui la jugerait.

Invité

Eh oui. Ça allait chauffer pour ces "p'tits cons", comme disait Majoren. Kerishu se demandait si ce n'était pas encore un sale coup de ces satanés Loups-Phoques. Mais, Majoren étant déjà très énervée -surtout que, ce qu'on lui avait volé, ce n'était pas rien pour la jeune brune...-, la rouquine préféra s'abstenir. Ce n'était pas le moment d'échauffer Majoren, et elle n'avait pas envie de se prendre un poing dans la figure, même si ce ne serait pas le premier.

*Arrête de réfléchir à ces conneries et répond-lui avant qu'elle ne te balance à l'autre bout du parc!!* s'ordonna la jeune femme.

"Non, j'ai rien vu, désolée." répondit Kerishu, tout en se levant. Dans les moments de colère et de manque de Majoren, elle n'aimait pas être dans une position d'infériorité face à la brune. Cette dernière devenait trop dangereuse.

"J'vais t'aider à les trouver. On ira plus vite." Ce qui avait surtout poussé Kerishu à proposer -ou plutôt imposer- son aide, c'était bien plus le fait de protéger les gens qui se trouveraient sur le chemin de son amie que pour faire avancer les recherches...

Invité

Evidemment. C'était prévisible, ces LP n'étaient pas aussi bêtes que ça, et ils se doutaient bien que Kerishu était son amie, puisqu'ils connaissaient le code de son casier, ils avaient au moins observé ça. Ceci dit, il était difficile d'avoir son attention attirée vers la jeune fille, m'enfin, ils devaient être quand même quelques uns. La jeune fille s'arrêta mais son expression de changea pas. Kerishu avait vraiment bien l'habitude de la voir ainsi, elle y avait eu droit plusieurs fois, et même elle avait subi sa colère à la place d'autres, ce qui la rendait unique. Heureusement qu'elle savait se défendre elle aussi.

- S'tu veux.

Elle ne voulait pas admettre qu'elle avait besoin d'aide de sa part, et peut être de la part d'autres personnes, car elle pèterait vraiment un plomb si la journée se terminait sans ses doses. Elle avait vraiment un besoin grandissant. Aussi, ce fut sans un sourire qu'elle accepta son aide. Majoren se tourna et commença à chercher aux pieds des arbres, un peu tout autour d'elle, jetant des regards dans les branchages, jetant des coups d'oeil à son papier par moments.

Il lui fallait vraiment trouver ça au plus vite, et peut être cela l'aiderait à en savoir plus sur l'identité des Loups-Phoques et même savoir où ils se cachaient.

Invité

Tout en surveillant Majoren du coin de l'œil, Kerishu fouilla dans les fourrés et les buissons. La rouquine monta même dans quelques arbres pour vérifier si les doses de la brune ne s'y cachaient pas. Tandis qu'elle effectuait ces recherches, Kerishu remerciait le ciel, les dieux, où que savait-elle encore de n'avoir mis aucun inconnu sur le chemin des deux jeunes femmes, ni même un professeur. Le seul moment où un adolescent d'une douzaine d'années avait croisé leur route, Majoren avait la tête dans un massif de fleurs. Un seul regard de la rouquine avait persuadé l'étudiant de rebrousser chemin. Eh oui, il n'y avait pas que des désavantages à avoir été la dirigeante d'un gang de Yankees!!

Cette triste période de son passé, seul les plus proches amis de Kerishu en connaissait les détails, et même l'ensemble. Majoren en faisait partie. Celle-ci savait donc que la cicatrice sur l'épaule de la jeune femme était le résultat d'un violent coup de couteau qu'elle avait reçu quand elle avait quitté son gang, quelques années plus tôt. Elle savait également que Kerishu avait, depuis, la jambe et l'épaule fragiles. Elle savait aussi que la rouquine regrettait plus qu'amèrement cette sombre partie de sa vie. Enfin, son ancienne vie, comme elle l'appelait.

Au bout de trois quarts d'heures de recherches intensives, les deux jeunes filles n'avaient toujours pas retrouvé les précieuses doses de la brune. Kerishu allait proposer à son amie d'aller faire un tour vers la vieille cabane qui craquelait un peu plus loin quand elle aperçut quelque chose briller au sommet d'un arbre feuillu. Mais, après y avoir jeté un rapide coup d'œil, Kerishu comprit que ce n'était un petit miroir. Pourtant, elle le prit avec elle. Quelque chose l'intriguait dans ce miroir... Après l'avoir retourné dans tous les sens, elle trouva un minuscule mot avec écrit dessus :

"Première étape franchie. Maintenant, dirige-toi vers la cabane...! LP"

"Majoren!!" appela Kerishu.

Invité

Qu'avait-elle trouvé ? Peut être ce qu'elles cherchaient depuis trois quarts d'heure déjà ? Si c'était le cas, Majoren se promettait d'essayer pour de bon de ne plus la maltraiter. Ceci dit, elle ne l'aurait pas appelée, dans se cas, elle l'aurait rejointe de suite, mais qu'avait-elle trouvé, vraiment ? Le seul moyen de le savoir était pour la brune de retrouver la rouquine, elle s'avança vers son aînée de quelques mois d'un pas rapide. Lorsqu'elle fut en face d'elle, elle demanda, tentant de cacher son agacement du mieux qu'elle pouvait, malgré sa voix qui laissait tout passer en ce moment précis.

- Qu'est ce que t'as ...

Elle fut interrompue lorsqu'elle baissa les yeux vers le morceau de papier qu'elle tenait dans la main. Pas besoin de lui demander ce qu'il y avait d'écrit dessus, elle pouvait très bien le lire toute seule. Alors la brune réfléchit, mais elle fulminait. Depuis quand on lui donnait des ordres ? Elle avait envie de frapper un arbre, mais la nature ne lui avait rien fait, si ce n'était lui donner une dépendance à la drogue aussi forte. Rien ne servait de s'énerver ainsi. Aussi, sans demander quoi que ce soit à Kerishu, elle se mit en quête de trouver cette cabane. Enfin, la rejoindre, car ce parc, elle le connaissait, surtout de nuit, étant donné qu'elle n'était pas souvent en cours, lorsque personne ne venait, en hiver par exemple, elle venait ici. Qui viendrait y chercher une junkie solitaire et asociable ? Ne pensant que brièvement à son amie, elle alla rejoindre cette cabane.

**Admin pragmatique** Prof d'anglais

Il les retrouva enfin. Depuis plusieurs minutes, il courait dans le parc à la recherche d'une des victimes des loups-phoques. La foule l'avait gêné dans sa progression, il n'avait pas pu atteindre la brune avant qu'elle ne sorte. Du coup, il avait tenté de la retrouver tant bien que mal. Maintenant, il devait accomplir sa mission.

Tremblant de peur - Majoren l'effrayait quand elle était en colère, le jeune garçon de 13 ans s'avança vers elle en courant et s'arrêta à sa hauteur. Il reprit son souffle durant quelque seconde et bredouilla...

"Si... Si v... Si vous voulez, je peux vous montrer où est la cabane."

Comment savait-il ? C'était simple. Trois casiers avaient été forcé. Celui du blond et de la brune, mais aussi celui du jeune garçon qui y avait trouvé un mot un peu étrange "oblige-les à te suivre en leur faisant faire le tour du parc pour trouver la cabane. LP". Il n'y comprenait rien de rien, néanmoins il ne voulait pas se faire voler quelque chose, alors il préférait obéir...

(Il s'adresse à Majo' qu'il vouvoie, au fait...)

Invité

Presque, ça y était presque, elle était à deux doigts d'avoir trouvé la félicité. Elle aurait frappé ce gamin qui osait s'approcher de trop près, se serait amusée de sa peur, si il n'avait pas parlé avant qu'elle fasse un geste. Il fallait lui laisser une chance de dire ce qu'il voulait après tout, même si c'était intéressant, elle le frapperait, de toutes façons, il fallait qu'elle extériorise. Malgré tout, Majoren dut se retenir car, malgré son air de môme, il pouvait l'aider. Depuis quand acceptait-elle de l'aide de la part d'un petit ? C'était bien la première fois, mais il y a une première fois à tout, et du moment qu'il ne savait rien sur ce qu'elle allait chercher exactement, tout irait pour le mieux. Contenant sa colère, les yeux fermés, acquiesçant d'une façon étrangement calme, elle ajouta tout simplement, mais avec dureté.

- Ouais, mais vite.

Rien que le ton incitait à se dépêcher. Elle espérait au moins que ce n'était pas un piège de plus que lui tenait les Loups Phoques, car là, l'intensité de sa colère doublerait, et elle était déjà plutôt jolie. Ne faisant aucun signe à Kerishu qui aurait compris évidemment qu'il n'y avait pas besoin de cela pour qu'elle soit autorisée à la suivre, Majoren suivit le garçon à travers le parc. Elle avait l'air maline, maintenant, à le suivre comme un guide qu'il était.

Invité

Kerishu connaissait l'existence de cette cabana, mais ne s'y était jamais rendue. La rouquine préférait jouer de la guitare sur les toits de Shokuboo Inochi, ou somnoler sur la plage ou près du lac. Kerishu allait pousser un juron quand elle remarqua un étudiant d'une douzaine d'années arriver. Sa surprise de voir un élève si jeune maquer les cours lui ôta les mots.

Le jeune garçon s'approcha des deux adolescentes et leur proposa de leur montrer où se trouvait la cabane. Kerishu n'avait pas vraiment confiance en l'enfant. Le gamin tremblait et ne semblait pas sûr de lui. De plus, à part les très rares proches de Majoren, personne n'approchait celle-ci. Pourtant, sa brune d'amie suivit le gamin, non sans agacement.

Toujours septique, Kerishu suivit ses cadets. La rouquine surveillait le jeune adolescent du coin de l'œil, les sourcils froncés. Pouvaient-elles vraiment avoir confiance en l'adolescent? Ne les menaient-il pas dans un piège?

*Keri', arrête le mélodrame!!* s'ordonna la jeune femme.

Invité

Bien évidemment, Majoren n'avait aucunement confiance en la bonne foi du garçon, mais elle se disait qu'après tout, elle n'avait rien de plus important à perdre que du temps. Ceci dit elle n'avait vraiment pas de chance, avec ça, le temps. Il passait trop vite, surtout quand elle ne voulait pas le perdre. Quelque chose poussait la brune à penser qu'elle devait suivre ce petit rien que pour être dans la voie, il avait certainement quelque chose à voir avec les LP. Peut être était-il là pour les éloigner de leur but, , mais c'était une étape nécessaire. Si c'était le cas, elle aurait vite fait de l'expédier ailleurs, à l'infirmerie, à l'hôpital, ou dans les bras de sa maman. Ceci dit, ça l'irritait un peu de réfléchir autant pour un simple petit garçon.

Ralentissant pour se mettre au niveau de Kerishu, elle ne perdait cependant pas le jeune garçon de vue. Et ce fut à voix basse, à peine audible par son amie qu'elle lui dit.

- J'le sens mal ce gosse quand même.

Les messes basses, ça les connaissait. Lorsqu'elles étaient ensemble, elles communiquaient rarement par de grands gestes et des exclamations. Même au bar, rares étaient les personnes qui les entendaient raconter leur vie, non seulement elles ne parlaient que peu de cela depuis leur rencontre, et en plus, elles ne disaient rien de personnel en public, toutes les deux étant assez mal placées pour raconter leur enfance comme dans un bouquin ou un film plutôt inintéressant.

Invité

Tandis que le trio poursuivait son chemin, Kerishu remarqua que Majoren avançait d'un pas qui traduisait son manque de confiance en l'adolescent. La rouquine ne put empêcher un petit sourire de venir se loger au coin de ses lèvres, sourire qu'elle fit vite disparaître. Quelques minutes plus tard, Kerishu eut la confirmation de sa pensée. Majoren lui fit part de ses pensées dans un murmure : - J'le sens mal ce gosse quand même. Et la jeune femme de répondre aussitôt :

"T'inquiète... T'es pas la seule..." La rouquine se passa une main dans les cheveux, tentant de réfléchir. Elle fit signe à Majoren de la devancer de quelques pas car le garçon, bien que très jeune, ne cessait de jeter des regards inquiets dans leur direction, et Kerishu craignait que celui-ci soupçonne quelque chose.
Après quelques instants, ce fut au tour de Kerishu de se mettre au niveau de Majoren pour lui sussurer :

"Si il fait un geste suspect ou qu'il tente de s'enfuir, je le plaque à terre -ce sera pas bien dur...- et toi on sort notre tu-sais-quoi..." Le "tu-sais-quoi" étaient les armes que Kerishu et Majoren portait toujours sur elles. Pour la rouquine, il s'agissait d'une arme blanche qui datait son sombre passé. A cette pensée, elle ne put retenir sa main qui se plaqua sur son épaule, main qu'elle se hâta de retirer. Quant à l'arme de son amie, Kerishu n'avait aucune idée de quoi il s'agissait, tout comme Majoren ignorait ce qu'était celle de la rouquine.

Invité

Majoren était plutôt rassurée, bien que pas tellement inquiète. En général, lorsqu'elle s'énervait, rapidement il faut le dire, et qu'elle avait l'intention de faire la fête a quelqu'un, si Kerishu était dans les parages, elle l'empêchait de s'amuser tranquillement. Elle jouait un peu la grande soeur du côté dont Majoren se passerait bien. Malgré cela, elle ne l'appréciait que d'autant plus lorsque la rouquine lui annonçait qu'elle était prête à jouer le même jeu si le besoin se faisait ressentir. Sage qu'elle était, la brune attendait, plutôt tendue, quelque chose se passe, autant en mal qu'en bien. Si un élève disparaissait, ce serait suspect, tout de même.

Depuis quelques temps, lorsqu'elle sortait, Majoren avait son "tu-sais-quoi" dont parlait Kerishu. A vrai dire, les "tu-sais-quoi" de la brune étaient au nombre de deux et variaient en fonction de son envie de prendre des risques. Un jour c'était un couteau, plutôt joli d'après ses goûts, volé à quelqu'un de haut placé dans les rangs des pourris, mais elle avait une préférence pour son automatique chéri. Ce jour là, elle l'avait sur elle, c'est sans doute pour cela qu'elle attendait avec impatience le moment où elle pourrait disparaitre sans laisser de trace. Elle était même entrée dans l'école en cachant cela, si ce n'était pas insensé. Elle ne craignait pas de le sortir, au contraire, elle s'en fichait, mais quand même, c'était plutôt risqué, même elle le savait. Aussi, elle préférait que ce soit Kerishu qui le fasse en cas de besoin, mais ne sachant pas quel était son "tu-sais-quoi", et réciproquement, le doute n'avait pas de mérite de s'être installé.

Le petit marchait rapidement, et trébuchait presque parfois, ce qui avait le don d'énerver la brune, qui ne dit pourtant rien, lançant tout de même un regard lourd de sens à Kerishu, s'en remettant à son jugement, pour une fois, ne faisant pas des siennes.

Invité

Kerishu fixait le gamin d'un regard dur et impassible, et ses yeux ne le quittaient pas. Une lueur de méfiance, mais aussi de malfaisance, brillait dans les prunelles de la rouquine. L'enfant ne cessait de trébucher et de se prendre les pieds dans des pierres ou des bouteilles lancées là au hasard. Il tremblait de tout son frêle corps. La jeune femme gardait le poing dans sa poche droite, les doigts étroitement serrés autour du manche du poignard.

Cela faisait longtemps qu'une pareille scène n'avait pas fait partie du quotidien de la rouquine. Cette dernière, contrairement au gamin, ne tremblait pas. Elle était parfaitement sereine et était même prête à bondir si elle le devait. Kerishu jeta un regard en coin à son amie. Majoren semblait fulminer de rage, mais Kerishu pensa que c'était plus une image qu'elle voulait donner.

*Je parie tout l'or du monde que ce n'est qu'une image. En réalité, elle est toujours aussi implacable!* pensa Kerishu, souriant intérieurement.

[HJ Ça te dit qu'on arrête l'express et qu'on aille au forum Cabane? Si oui, fait un dernier post pour dire qu'on arrive et qu'on puisse changer.]

Invité

[ Bon, je fais court alors =) ]

Ce gamin était trop bizarre. Vraiment, Majoren avait envie de le frapper, rien que parce qu'il était trop mystérieux à son goût, bien qu'elle arrive à cerner quelque chose dans cette peur. Il n'était pas un des Loups-Phoques, mais il y avait un mystère derrière cela, et Majoren saurait ce qu'il en est avec ou sans la force. Ses poings se serraient. Ce n'était vraiment pas son jour, et son air impassible n'était pas au rendez vous, mais il n'y avait personne d'intéressant à impressionnant, et elle faisait suffisemment peur au petit par sa colère.

Commençant à être lassée de suivre le gamin comme un chien aveugle, elle était sur le point de lui demander si il ne la prenait pas, par un put et simple hasard, pour une imbécile crédule et patiente. Mais heureusement pour lui, et malheureusement pour l'état de nerfs de la japonaise, ils étaient arrivés près d'une cabane, où bientôt, ils entreraient pour la fouiller.

Invité

A toi : http://ginkgo-gakuen.roleaddict.com/la-cabane-f24/suite-recherche-de-ca-pv-maj-scenario-t364.htm

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