{ Dean Onwara } Nom : Onwara Prénom : Dean Âge et date de naissance : 25 ans, 29 Février 1985 Nationalité(s) : américain Métier : infirmier dépravé

En savoir plus... Votre pseudonyme : Sundae Votre âge : 18 ans Comment avez-vous connu le forum ? par lettre recommandée D'où vient l'avatar de votre personnage ? le jeune Walter C. Dornez de Hellsing

Nous ne pouvons pas, ou alors que très difficilement, nous juger nous-mêmes. Comment pourrions-nous définir notre propre caractère ? Je ne sais pas, mais je vais quand même tenter de le faire, ne serait-ce que pour vos beaux yeux.

Je suis d’un naturel calme. Bien que n’étant pas introvertie, je ne parle pas beaucoup. Ou du moins, je ne parle pas pour ne rien dire. Sauf cas de force majeure, mes paroles sont réfléchies. J’évite au maxime d’hausser la voix et sait me contrôler, étant du genre patient. Mais à vrai dire, tout dépendait des situations dans lesquelles je me trouve. Je suis certes du genre à éviter les situations délicates, mais dès que je suis fourré dedans, je sais me débrouiller pour m’en sortir. De plus, je suis à l’écoute des autres. Mais toutes ces qualités, ne sont-elles pas celles recherchées chez infirmier ? Un infirmier impulsif et colérique n’est pas ce qui est le plus recherché dans ce milieu. Mais franchement, qui aurait crut que mon métier influencerais tant ma vie et mon caractère ? Personne, je suppose. Même pas moi.

Mais en tant qu’être humain, mes défauts sont sans doute tout aussi nombreux. Ainsi je suis opportuniste. Je profite de n’importe quelle situation pour montrer ma véritable personnalité. Je suis calme et froid, surement ce qui fait de moi une personne aussi détestable qu’attachante. D’un naturel charmeur, j’ai une très forte persuasion et arrive toujours à mes fins, sans passer par 4 chemins. Je suis franc, direct et n’arrive que très difficilement à accorder ma confiance à une personne.


Je lançai un coup d’œil au miroir, m’arrêtai net et jetai à nouveau un coup d’œil sur mon reflet. Les yeux légèrement écarquillés, je m’observai avec un certain étonnement. Certes, j’étais toujours le jeune homme aux cheveux noirs et au regard sombre. J’avais toujours ce visage ovale, ces fines lèvres et ce petit nez. Et pourtant, cette dernière année avait eu une grande influence sur mon apparence.

Je fis un pas en arrière et pu ainsi m’observer dans mon ensemble. Je regardai et j’appréciai la vie du haut de mon mètre quatre vingt trois. Les habits que je portais en ce jour étaient relativement amples, cachant ainsi les muscles développés et entretenus grâce aux nombreuses heures de karaté et aux footings matinaux.

Mes lèvres s’étirèrent en ce sourire amusé qui me caractérisait tant. Avouons-le, je n’étais pas spécialement rejeté par la nature. Même si tout est relatif, évidement.


Vous savez, je ne connais pour ainsi dire rien de mes origines. Le tout début de ma vie est assez flou. Je sais juste que je suis né le 29 février 1985. Apparemment, d’après une simple déduction, je serais né sous X et ma mère m’aurait envoyé à l’adoption. Comme étais-je venu sur cette conclusion ? Tout simplement parce que j’avais deux pères, tous deux d’origine japonaise. D’après leur dire, ils n’étaient venus en Amérique que dans le but de pouvoir recueillir un bébé sans être obligé de passer par 36 000 chemins.Ils avaient ensuite longuement hésité à retourner vivre à Kyoto. Mais, ils se plaisaient tellement en Amérique que le choix ne tarda pas d’être fait, s'étant, durant les trois dernières années, très bien accoutumer de leur vie, maitrisant très bien la langue du continent et ayant leur job respectif qui les motivait assez pour se lever tous les matins. Mais n’allons pas trop vite dans l’histoire, et écoutons plutôt le récit en entier.

Ainsi, je fus élevé à Cherokee dans l’Iowa par deux hommes Japonais dans le respect de la tradition de leur pays. A la maison, je m’exprimais dans leur langue, à l’école et avec mes amis, ce fut en américain. J’éprouvais donc une certaine fierté d’être non seulement bilingue, mais aussi biculture. Cette double culture est sans doute la raison pour laquelle je suis ouvert sur le monde et curieux.

Soit. A 6 ans, j’entrais à l’école primaire. A mis chemin entre cancre et géni, je me débrouillais relativement bien. Tout allait pour le mieux et mes pères étaient contents de moi. Entre temps, je me découvrais une réelle passion pour la guitare et prit, dès lors, des cours de chant et de guitare.

J’atteins les 11 ans sans entraves, mon quotidien étant rythmé par journées de cours, les devoirs, la bouffe et la guitare. Les week-ends j’en profitais pour souffler un peu. J’entrais ensuite dans la middle School de mon quartier. Là encore, je n’eu pas de mal à concilier ma passion avec mes cours et vise versa. Mais ce furent aussi les années où, je commençais réellement à me poser des questions quant à mes origines. Pourquoi n’avais-je pas exactement le même physique que mes pères ? Pourquoi mes amis avaient une mère et un père ? Bon certes, ces questions je me les posais déjà avant, mais je n’avais jamais osé les exprimer.

Mais un soir, je devais avoir 12 ans, par là, mes pères me prirent avec eux sur le canapé de notre maison et commençaient à me parler, me donnant toutes les informations que je voulais. J’appris ainsi que j’étais né à Glenwood dans le même état, d’une mère qui avait alors 16 ans et qui ne se sentait pas prête à m’élever seule, au plus grand bonheur de mes parents. Eux, étaient venu déjà bien avant afin de s’accoutumé à la vie locale et avaient sauté sur l’occasion. Depuis, je faisais leur bonheur.

Tous ce que j’appris là, me donna assez à réfléchir pour les semaines à suivre. Qui était cette jeune femme ? A quoi ressemblait-elle ? Et mon père ? Pourquoi ne sentait-elle pas prête ? Est-ce je pourrais la rencontrer un jour ? Et puis, avais-je peut-être un frère ? Une sœur ? Un demi-frère ? Toutes ces questions resteraient éternellement sans réponse.

Dès l’entrée dans ma vie de lycéen, je me sentais autant attiré par les filles que par les mecs. Je n’arrivais pas à faire de choix, malgré moi. D’un côté, le corps féminin était tellement agréable à parcourir et à regarder, d’un autre l’amour d’un homme était souvent plus fort et plus sensuel que celui d’une fille. Je marchais donc à voile et vapeur, ne voulant pas faire un choix concret. Ainsi, je laissais mes sentiments décider qui j’aimerais, et ça marchait plutôt bien. Pourtant, je n’étais pas friand des longues relations prises de tête et je ne pouvais tenir plus longtemps que 5 semaines –record atteint une seule fois jamais égalé par la suite. Pendant un certain temps j’enchaînais aussi pas mal de coup d’un soir.

Soit. A 19 ans –officieusement parlant- je sentais que je ne pouvais résister plus longtemps. Je passais mon examen de fin d’année avec brio et quitta mon Cherokee « natal » pour retourner sur mes fausses origines japonaise.

Ce fut donc à Tokyo, que je commençais mes études afin de devenir infirmier, dans le but premier de travailler dans un hôpital. En passant, je réussissais ces études sans problèmes, et je pris rapidement l’initiative de visiter les bars environnant, cherchant des mecs et des femmes pour satisfaire mon manque. J’étais, me disait-on souvent, un naturel charmeur, n’ayant aucun mal à faire tomber les gens amoureux de moi. Mais, je ne m’engageais jamais dans une relation.

Une fois mes études finis et après m’être accoutumé de ma vie d’étudiant Tokyoïte, je quittais cette ville, ayant eu vent d’une place libre en tant qu’infirmier scolaire, dans la Hamura High School. J’y restai près d’un an. Là, je fis quelques rencontres plus ou moins glorieuses – tel que le sale gosse Kimihiro ou l’adorable professeur d’Anglais, Akutsu Moe. Mais cette année fut ponctuée par la fermeture du lycée. C’était fort dommage quand même, étant donné que je m’étais tout de même accoutumé à ma vie dans cette école. M’enfin. Vu les conditions, il est évident que c’était pour le bien de tout le monde de fermé ce lycée. Ainsi, le transfert dans une autre école ne prit pas tellement de temps. Mais la question qui se posait maintenant était évidement : qui, de ces anciens collègues et patients avaient aussi transférés ici ? Il allait sans doute le savoir dans peu de temps.

Compétences particulières

Dean joue de la guitare depuis près de 20 ans. Bien que cet instrument connait un réel engouement chez les jeunes et que c’était l’instrument le plus répandu qu’il en devient banal, les guitaristes, les vrais, eux, s’en contre fichaient. Dean aimait sa guitare et ne l’échangerait pour rien au monde.

Langue :

Anglais (américain) : Langue natale qu’il maitrise très bien. Je ne dirais pas « à la perfection » car une langue n’est jamais maitriser assez bien pour ne plus avoir à évoluer.
Japonais : langue d’étude et langue « natale ». Dean se débrouille très bien. Mieux à l’oral qu’à l’écrit, cela va de soit, mais il connait tous les termes techniques liés à la médecine, il n’aura donc aucun mal à communiquer avec un Japonais pur souche, bien qu’il ait tout de même un petit accent américain lorsqu’il parle (mais c’est ce qui fait son charme)
Russe : langue des communistes, mais langue tellement jolie. Des consonances tellement douces et mélodieuse que Dean ne pouvait pas passer outre le fait d’apprendre cette langue. Bon, il est encore au niveau d’acquissions des bases, mais se débrouille déjà pas mal, pour le peu de temps qu’il l’apprend.

Bienvenue mon cher infirmier :3
Tu seras donc appartement 1, et je pense que tu trouveras le chemin de ton infirmerie tout seul. Bon jeu !

Puisqu'il y a eu des plaintes ...

Qu'est-ce que je te prépare pour diner ?

xD

Je ne suis pas difficile, je mange de tout :3 (avec une préférence pour les hamburgers triple bacon et les frites /o/)