La mission devait être facile, l'ordre était simple. Régler son compte a un ennemi de la famille qui vendait des informations confidentielle aux autres clans. Il était évident que la faute devait être puni, sévèrement. Et la mission revenait a Sasuke. C'était un honneur pour lui, ce genre de missions n'étaient donnés qu'a des gens de confiance et l'Oyabun l'avait choisit. Il faut dire qu'il était sans doute le plus le plus qualifié pour la chose et qu'il se trouve que le fuyard avait mal choisit sa ville... le voila a Hachioji. Ca faisait une petite semaine qu'il le suivait, une semaine qu'il avait apprit a le suivre pour agir le plus proprement possible. Les informateurs sont aiséments corruptibles, faciles a attirer... du moment qu'ils flairent l'odeur de l'argent. Et pour Sasuke la chasse avait été fructueuse. Il avait appaté la proie en lui envoyant une belle liasse de billets, lui disant qu'il en aurait le double s'il venait a un rendez vous avec les totalité des informations qu'il détenait sur la famille Yamaguchi Gumi. Il n'y avait plus qu'a attendre que la rpoie vienne dans le piège et Sasuke était sur qu'il viendrait. Personne ne crache sur l'argent.. surtout pas les fouines.

La nuit était tombée depuis quelques heures, les magasins avaient fermés boutiques, les rues s'étaient vidées de leur population diurne pour laisser place a la faune nocturne. Ses jeunes en quêtes d'aventures, ses jeunes filles en quête d'amour furtif et ses dealeurs en quête de pigeon a engraisser. La nuit.. tout les chat sont gris mais il est bien difficile de voir les corbeaux qui survolent sagement la populace en attendant de bouffer les cadavres que la vie aura laissé sur le bord du chemin. Voila quel genre d'indivudu était Sasuke, un corbeau... Ou un vautour, selon les gens. Toujours est-il que l'oiseau de mauvaise augure attendait calmement sa proie dans une ruelle sombre, éloignée de la voie principale, faiblement éclairée par une lampe exterieure a moitié morte qui clignait en agonisant sur ses dernières heures de vie. Il faisait beau, la saison le permettait, Sasuke avait tout de même revêtut son habituel costard noir, cravatte sombre et chemise blanche sans oublier les chaussures italienne. Boulot oblige, voila son uniforme réglementaire.

Il jeta un oeil a sa montre... 1h24. Encore 6 minutes et il serait là. Juste le temps de se fumer une clope en douce. Il vérifia la présence de son arme dans son dos, vérifia qu'elle était chargée et y fixa le silencieux.. on est jamais trop prudent. 1h30. Des bruits de pas dans la ruelle. Il était ponctuel c'était déjà ca. L'homme arriva dans son champ de vision et malgrè la pénombre Sasuke le devinait. Petit, a moitié chauve, portant avec lui un porte document sombre contenant ce que Sasuke désirait. L'homme le cherchait du regard et Sasuke fit un pas hors des ténèbres qui l'avaient cachés. Un sourire timide apparu sur les lèvres de sa victime auquel Sauke ne répondit pas.

"C'est... c'est vous le... commanditaire?"

"Exacte...Vous avez ce que je vous ai demandé?"

Pour toute réponse, l'homme montra la valisette noire qu'il tenait dans sa main. Sauke reporta son attention sur l'homme.. et le silence s'installa un moment.

"Pou.. pourquoi vous avez besoin de ses informations? Vous savez... la Yamaguchi c'est pas une partie de plaisir..."

Sasuke esquissa un sourire entendu, étrange... énigmatique.

"Je le sais bien... "

Les deux coups de feux étaient discrets et l'homme s'étala. Il avait fait vite, il n'avait pas le temps de discuter. Il se précipita vers l'homme qui toussait grassement mais qui était tout de même encore en vie et capable de parler.

"Qui te donnes les informations? Qui? Réponds!"

L'homme cracha une gerbe de sang qui tacha le costard noir de Sasuke. Et un autre coup de feu retentit, sauf qu'il ne venait aps de l'arme du jeune homme. Sa proie avait utilisée ses dernières forces pour contre attaquer et il avait visé l'abdomen. Sasuke le relacha.. de toute façons il était mort. Il porta vivement sa main a son flanc. La balle l'avait frôlé, mais la déchirure était profonde.. et douloureuse. Il attrapa la malette et fila, se tenant le flanc en serrant les dents. Il parvint a se méler a la foule et trouva un endroit plus tranquille pour souffler un peu. Agenouillé au sol, se tenant le flanc.. il était en bine mauvaise posture.