Nom : Marshall
Prénom : Jin
Date de naissance : 5 mai 1992
Âge : 15 ans
Nationalité : Américano-sino-japonaise
Club de : athlétisme
Caractère :
Toujours de la noirceur et de la froideur domine. Le bonheur, la joie, la gaieté et tout le tralala, pour Jin, c’est égal à un tapis de sentiments inutiles et puis quoi encore venir ramper jusqu’à ses pieds pour le supplier de tel ou tel chose, ne rêver pas trop ! Mais il est avant tout un humain comme tout le monde avec un minimum de cœur sans pour autant le montrer. Ce beau brun aime faire languir, faire désirer c’est ce qu’il permet de faire lui une personne mesquin, sadique et calculateur. Son charisme et sa beauté ne sont pas un simple masque, c’est aussi un atout dont il met en valeur. Amis ou ennemi ? Peu importe si l’on cherche à savoir qui il est, ce n’est pas ce qu’il veut, qu’on l’aime ou qu’on le déteste cela n’a aucune importance pour lui. Bien qu’il se fasse beaucoup d’ennemi, il préfère les personnes à peu près comme lui. Bien qu’il préfère observer les personnes avant d’accorder sa confiance, il se fera un plaisir de la narguer si le feeling ne passe pas. Malgré le calme et la patience qu’il dégage, cela ne l’empêchera pas pousser un coup de gueule de temps en temps. Il respecte les personnes qui le respectent car la politesse est la moindre des choses pour des gens civilisés, si ce n’est pas le cas, il se fera un grand plaisir d’écraser les orteils de la personne, si on peut dire cela comme ça…
Dans l’ensemble c’est un garçon qui aime se moquer du malheur ou du bonheur des autres et il ne va pas vous le cacher loin de là. Sadique…oui vous pouvez le dire, il l’est. C’est ce qui l’amuse surtout. Bien que son côté associable domine, une fois que la personne le connaît, il change totalement de comportement. Même si très peu de personne le côtoie, il cherche malgré tout à faire un minimum diplomatie…Mais n’allait pas trop en chercher non plus, car si il vous envoie balader, vous n’avez qu’à vous réfugier dans les jupons de votre mère. Il s’aime et aime bien prendre soin de lui. Pas souvent, ne vous inquiétez…Introverti, il préfère observer la personne qu’il a en face de lui avant d’entamer un sujet de conversation. Sinon, il a tendance à être un peu tête en l’air et une grande mémoire de poisson rouge. Ce beau brun a parfois le caractère d’un vieux papi rabougri qui s’est levé du mauvais pied, donc pour râler, il sera le premier à vous en montrer un avant goût. Néanmois, son caractère s'améliore peu à peu surtout avec ses proches.
Physique :
Comme tout être humain est formé de membre supérieur et inférieur, Jonathan aussi est formé normalement. Des pieds lisses qu’il déteste les montrer même si ils sont très beaux avec ses dix doigts de pieds. De longues jambes fines avec des mollets bien ferme. Je passe son entrejambe. Ce garçon est un grand sportif et cela se voit au niveau de sa corpulence assez robuste. Ses abdominaux montre également le grand sportif qui sommeil en lui. Son buste très droit montre une certaine assurance en lui, ce que beaucoup de personnes croient d’ailleurs. Ses bras sont long et ses mains fines et douces. Tellement douces qu’on dirait des mains de fille lavée (non pas avec Mir Laine >.>) avec du savon de Marseille. Une brève description de sa corpulence puisque ce n’est pas ce qui vous intéresse le plus, n’est-ce pas ?
Nous passons donc au niveau du visage (perspicace, n’est-ce pas ?). Son cou n’est pas très long et sa pomme d’Adam est très discrète. Comme tout homme en possède une, le sien ne se voit quand il lève la tête au ciel. Les traits de son visage ovale peuvent porter à confusion. Quand je dis confusion, je veux dire qu’on a tendance à le prendre pour une fille. Avec ses airs androgyne, Jin possède de fines lèvres rose et mouillé qui luit lorsqu’il met quelque touche de Labello afin d’éviter les risques de gerçures. D’autant plus qu’il a horreur que ses lèvres soient sèches. Un petit nez plat qui lui permet, comme tout être humain, de faire travailler son odorat. De petits yeux bridés de couleurs pourpres. Tous ses sentiments, il les exprime à travers son regard. Ses cheveux mi-longs sont noirs comme les ténèbres avec quelques mèches violettes pour accompagner ses beaux yeux. Même si ils ne se voient pas, c’est au soleil que vous les verrez ou à la lumière.
Concernant ses vêtements, il tend plutôt vers des habits en soie avec des motifs chinois de préférence. Pour les couleurs, cela lui est complètement égal tant que cela lui va comme un gant, il n’en demandera pas plus. Parmi tout ceci, c’est avant tout le noir qui le domine et il en va de même pour sa garde-robe qui est soigneusement rangé avec ordre de couleur et ensemble. Si il y a bien un pantalon qu’il déteste c’est bien le jean’s. Ses habits en soie moulent bien ses formes bien généreuses que ses chers parents lui ont offert afin de montrer à quel point il est musclé. Malheureusement, certaines personnes le confondent avec la gente féminine, surtout que sa voix aiguë accentue le doute des gens. Pourtant, il n’est pas efféminé, mais cela devait sûrement être à cause de sa démarche.
Histoire :
Chapitre 1 : La rencontre
Revenons quinze ans en arrière. Tout a commencé quelques jours avant Noël.…Un soir, alors que le bal battait son plein, Bryan était debout et adossé au mur à mirer ses chers camarades faire la fête au milieux de la salle fraîchement décoré par les chandelles au plafond. Ennuyé; il alla à l’extérieur et s’assit sur un banc vide. Plusieurs heures passèrent et il voyait les questions défiler sous ses yeux. Bryan se compliquait souvent la vie à se poser des questions inutiles. Il est parfois très instructif de penser avec philosophie, mais il y pensait un peu trop souvent. Une enfance douloureuse et houleuse à la maison, il avait du mal à comprendre cette ambiance familiale. Ce soir là, alors qu’il était seul, une silhouette fit son apparition sous son nez. Fine, avec une belle robe bleue, elle se tenait là sous ses yeux. Non ce n’était pas celle qui faisait battre son cœur. C’était une charmante inconnue. Elle avait une taille de mannequin et des yeux violets. Bryan était là, la bouche bée comme un homme qui venait de voir un fantôme. Pourtant ce n’en était pas un, mais il ne la connaissait point. Elle s’inclina et l’invita à danser en tendant sa main. Le jeune américain chinois ne savait pas quoi dire. Cette fille c’était Julianne et elle était japonaise, mais elle n’était pas dans son école. Elle étudiait dans l’école catholique à côté. Bryan l’avait déjà vu, mais il n’était pas intéressé. Comment était-elle entrée alors que le bal était sous invitation ? Il lui prit la main, se leva et accepta une valse sur le balcon de l’école.
Une sensation étrange lui parcouru le corps. Cette jeune japonaise ressemblait à une poupée de cire sans sourire. L’étudiant ne savait rien de sa vie, rien de cette personne puisqu’il lui était totalement inconnue. Son regard dans le sien. Une sorte d’hypnose l’envoûtait. S’il devait comparer cette personne à un personnage imaginaire, il la comparerait à une sorcière…Il voyait un visage vide et morne. Les échos qu’il avait entendus sur Julianne étaient assez effrayants. Certain disait qu’elle fabriquait des filtres d’amour pour attirer les hommes qui lui plaisait, d’autre imagine qu’elle garde au fond d’un placard des bocaux de langue de crapauds. Même si elle avait un look particulier, Bryan avait beau cherché pendant cette valse amoureuse, un indice qui prouvant un zeste de veuve noir ou de mante religieuse qui se cachait en elle. Mais rien. Juste ses yeux violets qui brillait à la lumière de la lune. La chanson avait changé, avec un rythme toujours aussi lent. Ils ne s’étaient échangés aucun mot et un grand mystère planait au dessus du couple…
Le lendemain, au réveil, il découvrit dans son lit la jeune Julianne. Étendu, dormant et emmitouflé dans les draps du jeune homme, son corps était d’une douceur féminine. Bryan ne pouvait pas se passer de ce corps si doux comme de la soie. Tel un tableau exposé dans un musée, mais pas à la hauteur d’un Gauguin ou d’un Monnet. Non, c’était du Julianne…Il se leva lentement afin de ne pas la réveiller, il se dirigea vers son shamisen et commença à entonner une douce et mélodieuse. Avant le petit déjeuner, il avait ce besoin de jouer pendant quelques instants pour l’apaiser avant de débuter une nouvelle journée. Fermant les yeux, une main vint se poser sur son torse suivi d’un baiser et d’un :
Julianne: « Bonjour mon amour. »
Chapitre 2 : La naissance
Le vol 736 venait d’atterrir sur la piste. Les aiguilles de l’horloge indiquait midi pile. Bryan courait pour avoir un taxi et se rendre à l’hôpital où Julianne allait accoucher. Un troupeau de véhicule bouchait la route à cause des feux rouges. Sans plus attendre, il sortit de la voiture et couru en direction de l’hôpital qui se trouvait à quelques mètres du taxi dont il est sorti. Quelques mois loin de sa femme étaient pratiquement insupportables, alors louper la naissance de son propre fils était interdit. Une fois arrivée, il entra à l’intérieur du bâtiment de soin, mais un médecin l’intercepte. Son visage ne signalait rien de bon…
Médecin : « Monsieur Marshall ? »
Bryan : « Oui c’est moi, mais je dois… »
Médecin : « Je dois vous dire quelque chose avant. Ne vous inquiétez pas, je vous laisserai entrer. »
Bryan : « DEPECHEZ-VOUS ALORS ! »
Médecin : « …calmez-vous…Votre femme va mal…très mal et elle n’en a plus pour longtemps… »
Bryan : « Non…vous mentez…et mon enfant ? »
Médecin : « Il va bien, mais il est sous cocon protecteur. Il est prématuré. »
Bryan entra dans la chambre et vit sa femme allongée sur le lit. Julianne était faible. L’accouchement était fatiguant et douloureuse. Elle posa une main sur la joue de Bryan. Un petit sourire du coin des lèvres en voyant son mari inquiet. L’américain avait le visage pâle et ses membres tremblaient. Rien que de penser que sa femme allait mourir était une souffrance. Elle lui demanda de s’approcher. Au creux de l’oreille, elle lui chuchota :
Julianne : « Bryan…pardonne moi…et aime le comme si c’était le tien… »
Bryan : « Que veux-tu dire ? C’est mon fils ! »
Julianne : « Non Bryan…ce n’est pas toi le père… »
En lui avouant cette nouvelle, elle donna un baiser sur la joue de son mari avant de rendre son dernier souffle. Le visage de Bryan devint encore plus blanc que la nouvelle du médecin. Quelques pas en arrière, sous le choc, il ne savait pas quoi dire. Entre la haine et la tristesse, il ne savait plus où il en était. Le nouveau né était dans une autre salle. Il décida d’aller le voir. Sous son cocon, il était là endormi. Une infirmière s’approcha en présentant ses condoléances pour sa femme et demanda comment il allait nommer le fils de quelqu’un d’autre. Bryan avait accordé toute sa confiance envers Julianne et voilà qu’elle l’avait. Pendant neuf mois, elle portait le fils d’un autre. Mais Bryan avait le cœur trop sensible et ne pouvait le laisser seul. Il répondit alors, en insistant sur le début de sa phrase :
Bryan : « MON fils s’appellera Jin… »
Chapitre 3 : Sa scolarité à aujourd’hui
Quatorze ans plus tard. Jin devenait un jeune et séduisant jeune adolescent. A l’école primaire, monsieur jouait déjà les rebelles. Pas avec ses camarades mais avec ses parents. Avec ses camarades c’était différent, il ne voulait pas s’intégrer au sein d’un groupe ou quelque chose dans le genre. Ce qu’il préférait c’était de rester seul dans son coin à dessiner des maisons de toutes les couleurs essentiellement ceux de l’arc-en-ciel. Une vie très banale faut l’avouer. Mise à part le fait qu’il se renfermer sur lui-même, ses camarades finirent par le surnommer « la souris ». Pour certains, le rongeur est mignon, pour d’autre c’est une bestiole ignoble et c’était surtout sur l’apparence de Jin. Pourtant c’était un garçon comme tous les autres, sauf qu’il ne faisait aucun effort pour jouer ou discuter avec les autres personnes et que ses yeux étaient différents. Peut-être qu’il tenait ça de sa mère.
Sa discrétion et son mystère étaient devenu une crainte pour les autres. On l’appelait le chaman ou le marabout. Ses camarades pensaient qu’il faisait comme sa mère des pratiques occultes, même si ils ignoraient cela. De toute façon, sa mère était morte. Mais à force d’alterner entre le Japon et les Etats-Unis, Jin avait du mal à suivre une scolarisation stable. Bryan ne voulait pas rester dans un seul pays, avec le travail qu’il avait, il ne pouvait pas se permettre d’être immobile. Lorsqu’un jour, après un dialogue verbal violent entre les deux hommes, Jin lui avoua qu’il n’avait plus envie de partir à droite et à gauche. Il alla même un peu plus loin…en lui disant qu’il était au courant que Bryan n’était pas son père biologique.
Par une lettre de sa mère, l’adolescent sorti de sa poche un bout de papier et se mit à la lire à haute voix. Cette lettre, Jin l’avait trouvé dans le grenier, enfermé dans un coffre qui appartenait à sa mère. Désespéré, Bryan fini par céder, de toute manière, il ne lui restait plus rien côté amour. Jin n’était pas très tendre avec celui qu’il avait élevé, même si il montrait rarement ses émotions, mais il le considérait comme son propre père. Malgré le refus de Bryan, mais avec son autorisation, il lui laissa aller étudier où son fils le souhaitait et Jin décida de rester au Japon, à Tokyo plus précisément. C’est ainsi qu’il fut accueilli à Shokuboo pour aller retrouver un de ses cousins éloignés nommé Shawn Tosh.
Avez-vous lu le règlement ? -OK- (Sheik')
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Rencontre Tam, et il empire ton Jin !
