Ginkgo Gakuen
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Le lycée sous le signe de l'arbre aux 1000 écus
 
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 Cathan O'Leary

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AuteurMessage
Cathan O'Leary
Admin mordant
Prof de maths

Cathan O'Leary


Personnage
Âge : 33 ans
Chambre / Appart : 2

A savoir
:

Cathan O'Leary Empty
MessageSujet: Cathan O'Leary   Cathan O'Leary EmptyLun 31 Jan - 12:07

{ Cathan O'Leary }

Nom : O'Leary
Prénom : Cathan Ichigo
Âge et date de naissance : 32 ans, 1er novembre
Nationalité(s) : Américain / japonais (nationalité japonaise perdue à 22 ans )

Métier : Prof de maths
En savoir plus...

Votre pseudonyme : The Cat
Votre âge : moins de 30 ans :P

Comment avez-vous connu le forum ? Je plaide coupable pour sa mise en place

D'où vient l'avatar de votre personnage ? http://ecthelian.deviantart.com/

Caractère

Parler de mon caractère me rappelle les tests psychotechniques qu'on m'a fait passer pour entrer au FBI. Vous savez qu'il y a des cours à l'université pour apprendre à y répondre correctement dans les entretiens d'embauche ? Quel est l'imbécile de psy qui a créé ce genre de test, je me demande... quelqu'un qui avait passé beaucoup trop de temps sur sa thèse à mon avis.
Allons-y pour la liste d'épithètes adaptés à ma personne. Jovial - les dépressifs et les grise-mine, très peu pour moi - Comique - je sais, dit comme ça, c'est plutôt pathétique mais... je suis partisan de prendre la vie du bon côté, et d'en rire si je peux. Second degré, voir plus si affinité... il a bien fallu que j'apprenne avec les costards-cravates un peu trop guindés avec qui j'ai bossé. Bon ok, des fois je fais clairement chier les gens à ne pas sembler les prendre au sérieux... relax les gens ! C'est rarement une question de vie ou de mort...
J'en étais où ? A oui, des qualificatifs sur ma petite personne. Un peu égocentrique ? Si peu voyons... j'ai plus une bonne idée de toutes mes capacités et de leur étendue.
Et je ne sais pas si vous l'avez remarqué, mais j'ai tendance à être bavard. Parfois un peu trop même. C'est plus facile de gérer les gens... à côté de ça, je peux passer 15h sur mon ordi sans décrocher un mot et sans me rendre compte que le temps a passé. J'ai du mal à me limiter dans quoi que ce soit.
Mes relations avec les autres ? J'aime bien les gens, dans une certaine limite. C'est bien beau les histoires de relation, mais au bout d'un moment, ça finit toujours par me casser les pieds. Amour, amitié, du pareil au même. On m'a souvent reproché de ne pas prendre les gens au sérieux. Il faut avouer, que quand je les prend au sérieux, c'est souvent quand ils sont chiants comme la pluie. Une ex m'a un jour conseillé de voir un psy, histoire que je rompe le cordon avec ma mère, ou un truc du genre. Je n'ai rien contre les théories de Freud ou de Lacan, mais je ne pense pas que ce soit ça dont a besoin ma libido ou mon subconscient. Et je n'ai pas tant de temps à perdre...

A oui, dernière chose. Je mens très bien.

Physique

Mon physique ? vous voulez dire ma représentation tridimensionnelle composée à 65% d'oxygène, 18% de carbone et 10% d' hydrogène et quelques autres babioles, à laquelle vous vous confronterez si d'aventure nous discutons IRL ? Et bien pour tout dire, il est normal. Deux bras, deux jambes, une tête, le nombre adéquat d'organes tous à la bonne place et fonctionnels. On peut pas souhaiter mieux. Plus de détails ? Ma masse musculaire est relativement bien développée - normal, je fais ce qu'il faut pour - Mens sana in corpore sano - comme on le dit. Mieux valait être en forme chez les fédéraux, et mieux vaut toujours l'être quand les fédéraux vous colle au cul d'un peu trop près. Pour les poumons, ils sont assez endurants - la clope à dose minimum, mais je ne vais quand même pas me priver de tous les petits plaisirs de la vie non plus ?
Un peu plus de détails ? Des éléments significatifs qui permettraient de me repérer dans la rue ?
Si vous insistez... on va commencer par le plus voyant : ma crinière. Un beau roux intense et bouclé, et surtout long : jusqu'aux épaules devant, jusque sous les omoplates dans le dos. Heureusement, une bonne queue de cheval fait des miracles, non ? Et oui, le roux est naturel... il y a quelques années, quand j'étais chez les fédéraux, ils étaient coupés courts et teints en noir, histoire de bien rentrer dans le moule et de ne pas trop dépasser. Un changement radical, non ? On va dire que ça fait parti de ma technique de camouflage... tellement voyant que personne ne me verra.
Le reste est un peu plus ordinaire : des yeux bruns - avec parfois des reflets bizarres dus aux écrans d'ordinateur, c'est beau la technologie ! - quatre anneaux à l'oreille gauche et deux à la droite. Et oui, je passe encore les portiques d'aéroport quoi qu'en disent les mauvaises langues. Autre chose... laissez-moi réfléchir.. Ah oui ! j'ai le phénotype "peau claire" par excellence, le vrai teint irlandais de ma mère. J'ai la peau pâle, et je crame au moindre rayon de soleil un peu trop intense. Raison de plus pour rester à la maison et préférer le bronzage cathodique, non ?
Les fringues ? je les change, merci bien. Et non, je ne vais pas faire une description précise des chaussettes à la cravate en passant par le boxer en plus... Pour vous faire une idée, la même chose que porterait un homme sans détonner n'importe où dans le monde. Enfin, presque n'importe où. On va dire dans les pays développés et tempérés. J'évite le kimono, apparemment ça détonne avec ma couleur de cheveux...


Biographie

Je suis encore un peu trop jeune pour écrire des mémoires, mais pourquoi pas.
Bon, on va commencer par le début. Ou peut-être même un peu avant. Ma mère Tara O'Leary, quatrième fille d'une famille d' irlandais pure souche, fervents catholiques au teint pâle et aux cheveux roux, et pour qui l'Eire est le premier amour, impossible à quitter. Et là dedans, ma mère. Enfin une sale gamine au tempérament de feu qui refuse de se voir en future femme au foyer. Sitôt ses 18 ans révolus, elle prend la poudre d'escampette pour continuer ses études à Los Angeles, en espérant une vie meilleure, sous les huées d'une communauté irlandaise et catholique soudée face à la brebis galeuse. Heureusement pour elle, ma mère était - est toujours d'ailleurs - adepte du "aide-toi, le ciel t'aidera" - Et plutôt que d'attendre un don du ciel, a misé sur une multitude de petits boulots pour payer ses études de comptabilité et avoir un diplôme qui lui assurait de trouver un emploi et de subvenir seule à ses besoins. Et au passage s'assurer la nationalisation américaine sans soucis. Bravo maman, tu es une femme comme je les aime, indépendante et sure d'elle.

Vint un petit grain de sel dans ce rouage - oui, vous le voyez venir gros comme une maison, que ce grain de sel va mettre 9 mois à se former, et vous avez raison.
Notre chère Tara eut une aventure avec un des clients de la boite où elle exerçait ses talents de comptable. Un honorable entrepreneur japonais qui semblait fou pour la crinière de feu de l'irlandaise. Et qui la laissa avec un souvenir impérissable... et oui, il y a 30 ans, le contrôle des naissances n'était pas ce qu'il était, et pour cette bonne catholique qu'était ma mère, l'avortement - aussi pratique qu'il soit - était hors de question. J'avoue que je la remercie de ce point de vue de l'époque, même si personnellement, je respecte les droits des femmes à faire ce qu'elles veulent de leur ventre. Mon cher père fut plutôt embarrassé de la tournure des choses. Honorable, et marié au Japon, les choses allaient difficilement de paire... Ma mère lui demanda pour unique chose de me reconnaître, histoire que j'ai droit à avoir un bout de nationalité japonaise. En dehors de ça, ni argent, ni rien. Elle n'avait toujours pas envie d'être une fille entretenue. Papa se fit bien tirer un peu l'oreille, mais céda - au moment où ma mère menaça d'écrire une lettre à son épouse pour tout lui révéler. Et on se demande d'où je tiens mon côté un peu vicieux ? J'ai eu pas mal de temps pour apprendre...

Et c'est donc là que commence mon histoire à moi, petite tumeur évolutive bien nichée au creux du ventre de ma mère. Neuf mois plus tard, je devais apprendre à faire ma place dans ce monde d'humain.
Les premières années, je n'ai pas grand chose à en dire : d'après les photos j'étais un bébé tout ce qu'il y a de plus normal, dodu et rose à souhait, qui faisait tous les bruits et gazouillis attendus d'un espèce de tube digestif sonore. Oui, les gosses et moi... que voulez-vous que je puisse dire sur des humains pas encore formés ? Entre baby-sitter, voisine et nourrice, ma mère continuait de bosser et s'occuper de moi comme elle pouvait. Elle dut y laisser tomber la messe du dimanche matin par contre, la pauvre...
Le moment où je tenais sur mes pieds et élaborait assez bien mes pensées et mes mots, je fut envoyer à l'école du quartier, pour apprendre toutes ces choses si utiles à la vie de tous les jours. Pas la peine que je détaille, je suis sur que vous les connaissez aussi, en tous cas si vous savez assez bien lire pour être là.
Une petite anecdote intéressante ? Ma mère essaya de contacter ses parents pour leur parler de moi. Mais il est difficile de ramasser l'eau renversée d'un seau, et mes grands-parents irlandais avaient rayé leur brebis américaine de leur famille. Apprendre en plus qu'elle était fille-mère... Tout n'était pourtant pas à jeter chez eux : ma grand-mère entretint un échange par lettre avec sa fille, histoire d'avoir quelques photos du mouflet. Elles sont pas géniales les femmes de ma famille ?

Un truc assez marrant concernant ma mère, c'est que son côté irlandais convaincu, m'apprenant toute l'histoire de mon île originelle et à baragouiner le gaélique, s'est aussi transmis à l'autre moitié de mon héritage. Apparemment, que mon père m'ai refilé la moitié de mes chromosomes ne lui a pas suffit : j'étais à moitié japonais, alors autant savoir ce à quoi ça correspondait. Ce qui veut dire que j'ai passé de longues heures à apprendre le japonais, l'histoire et les mœurs du Japon. Et je peux vous le dire, il n'y a pas que les mangas la dedans... j'ai même écopé d'un second prénom japonais que ma mère a trouvé en cherchant dans des livres. Quand je vois maintenant que c'est le prénom d'un héros de manga, je ne suis pas pressé de me présenter sous ce prénom. Avec un peu de recul, je me dis qu'elle n'a pas eu tord. Et vu la situation où je suis maintenant, je dois dire que je bénis son obstination. Mais on parlera de ça plus tard.

La suite... j'ai atteint le lycée sans incident. Après, ça se corse un peu. Je n'ai pas fréquenté les écoles les mieux famées, et le moins qu'on puisse dire, c'est que je n'avais pas la langue dans la poche. Je tiens ça de ma mère... j'ai ramassé autant que j'ai pris, et j'ai appris à me battre surement aussi bien que si j'avais passé la moitié de ma vie dans un club de box. Ne pas vouloir se faire ramasser après les cours est une excellente motivation pour apprendre vite et bien.
Dans le genre apprentissage qui s'est bien passé, je vais être relativement peu modeste mais je vais dire que oui, j'étais plutôt un bon élève. Avec pour motivation, cette putain de fierté irlandaise et l'envie de m'en sortir. J'ai eu une bourse pour aller étudier à Berkeley. Et ouais. Dans le genre, c'est pas si mal, non ? et tant mieux au passage, parce que sinon, je ne suis pas sur que j'aurais eu le courage de faire ce qu'à fait ma mère, à savoir jongler entre petits boulots et études. Je suis capable de me motiver, mais mener 3 carrières de front, faut pas pousser non plus... Allez pas non plus dire que j'ai chômé la-bas ! Entré à 18 ans, j'ai validé un double master Engineering et chimie à 24. Parce que la chimie, c'est fun, et que je n'avais pas envie de l'abandonner en cours de route. J'ai aussi poli pas mal de skills pendant ma vie d'étudiants : vie sociale, test des différents alcool et drogue, faire partie d'une fraternité, drague, ramassage de râteaux, programmation/piratage informatique. J'avoue que j'ai surtout été doué pour les deux derniers.

Après tout ça... c'est bien beau les diplômes, mais une fois qu'on les a en poche, on se retrouve un peu con, sur le marché du travail sans savoir trop quoi faire avec. Le but étant de gagner du fric et de ne pas trop s'ennuyer. J'ai enchainé quelques contrats - pas trop dur de trouver quoi faire vu mes qualifications - mais tout cela était un peu... frustrant. Sans saveur.

Une fois de plus, la femme de ma vie - ma mère, et non, je n'ai pas de complexe d'Oedipe, merci de demander - intervint, avec des mots du genre " Mon fils, il est temps que tu fasses quelque chose de ta vie. Vois plus haut. " Enfin, ça, c'est ces mots avec un peu de brosse à reluire. En réalité, ça a plutôt donné quelque chose du genre " Cathan, bouge ton cul avant de devenir un de ces beaufs qui mate la télé en buvant de la bière tout le samedi aprem". Une sainte femme ma mère. Du genre Marie, avec l'immaculée conception et tout.

Raison pour laquelle j'ai déposé ma candidature au FBI. Je ne sais pas ce qui leur a plu dans mon CV, mais quelques semaines plus tard, j'étais parti pour la Virgine, et dix sept semaines de plaisir à apprendre les techniques de base de tout bon agent du FBI. Dire que je voulais faire partie de la division scientifique de base... Deux années plus tard, à 27 ans, j'étais officiellement un agent fédéral - en gros, j'étais enfin reconnu compétent -
Ce qu'il y a de bien avec le FBI, c'est que c'est fun et varié comme job. Bon, pour le côté stable et les horaires de bureau, c'est pas tout à fait ça, mais comme je n'avais ni femme ni chien m'attendant à la maison... Faisant principalement parti de la section scientifique, j'ai eu mon comptant d'affaire sur le terrain. Je suis resté quelques temps à la brigade anti-terroriste avant de revenir dans la section criminalité. Les renseignements généraux, très peu pour moi, chose sur laquelle mes supérieurs ont toujours semblé d'accord. Apparemment, je n'ai pas le profil pour. C'est surtout trop barbant...

Il y a une section à laquelle je n'ai pas participé alors que j'aurais bien aimé y aller, c'est les crimes informatiques. Et oui, vous savez, avec le temps qui passe, les capacités s'affinent et s'améliorent... et je dois avouer, avec toute la modestie qui me caractérise, que mes petites compétences de programmeur et de pirate acquises à l'université ont pris beaucoup de bouteille avec mes années passées au FBI. Et je dois aussi avouer qu'au début, si c'était surtout pour le boulot, ça a un peu dégénéré. Se faire oublier des impôts, échanger des informations, en récupérer ça et là... C'est quand j'ai vu un mandat d'arrêt sur une de mes personnalités alternatives - oui, il faut bien vivre avec son temps - que je me suis dit qu'il était peut-être temps de mettre les voiles, et beaucoup d'air entre moi et les fédéraux. J'ai pris une dispo - pas vraiment une démission, pas la peine de leur mettre la puce à l'oreille et me suit envolé pour le Japon. Après tout, j'avais tout un pan de cette culture en moi, une bonne maîtrise de la langue et c'était loin des USA. Que demander de plus ?

J'ai juste un peu falsifié mon CV, histoire d'échanger mes diplômes pour la licence en math nécessaire pour être prof. Et quelques autres petits détails. C'est pas tout à fait la même chose que mon CV, mais bon, on s'en fout, si je n'ai pas le niveau pour apprendre des maths à des lycéens, autant prendre un orang-outang comme bibliothécaire...
De toute façon, s'ils font les recherches nécessaires pour confirmer, ils verront bien que tout est parfaitement en ordre. Promis !

And then

Que dois-je dire de ces quelques mois en tant que prof ? D'abord que je déteste les gosses, surtout mes élèves, incapable de rester en place 5minutes pour écouter quelqu'un parler. Le petit détail que ça pourrait leur être utile pour plus tard... ils s'en foutent ! Des vrais ptis cons.
Au delà de ça... j'ai bien peur de m'être créé des relations. Cinq ans dans le FBI, et je n'ai jamais réussi à me faire plus que des potes de beuverie en fin de mission, quelques mois au Japon, et je peux compter Jiro - sex-friend à ses heures - et Akutsu.
A oui, Akutsu. J'ai oublié de préciser ce petit détail : j'ai réussi - contre toutes les lois de probabilité - à tomber sur ma famille japonaise. Et j'ai gagné un petit frère. On verra ce qu'on peut en faire...

Compétences particulières
  • Langues parlées :
    Anglais : langue natale, version américaine, mais qu'importe :3
    Japonais : courant. A étudié le japonais assez jeune, s'en ai servi régulièrement dans sa vie professionnelle, aucun soucis pour s'exprimer avec maintenant.
    Espagnol : scolaire. En a fait pendant ses études, et s'en ai souvent servi à Los Angeles. Certes il a un affreux accent américain, et s'exprime plus en argot que dans une langue littéraire, mais sait se faire comprendre
    Gaélique irlandais: scolaire appris par sa mère. Une connaissance surtout anecdotique, mais peut en dire quelques mots. Surtout des jurons.
  • Capacités physiques :
    Bon sportif, régulièrement entrainé
    Entrainé au corps à corps
    Excellent tireur


Dernière édition par Luggage le Lun 31 Jan - 14:11, édité 1 fois
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Le Staff
Administration
Compte commun




Cathan O'Leary Empty
MessageSujet: Re: Cathan O'Leary   Cathan O'Leary EmptyLun 31 Jan - 14:06

Hello,

Tout il est bon mon p'tit monsieur, z'êtes donc validé ! J'vous ai mis en appart' 1, y a toutes vos affaires déjà !

Bienvenue et bon jeu :shock:
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Cathan O'Leary

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