{ Maiko Aikawa } Nom : Aikawa Prénom : Maiko Âge et date de naissance : 19 ans, le 13/03/1991 Nationalité(s) : Japonaise Classe : Classe préparatoire Club(s) : Arts traditionnels du Japon

En savoir plus... Votre pseudonyme : N’amande Votre âge : Je vais sur les 19 ans Comment avez-vous connu le forum ? Grâce à Sheik’ D'où vient l'avatar de votre personnage ? Zerochan.net Vocaloid – Hatsune Miku

Pour comprendre Maiko, il faut savoir qu’elle a été éduquée dans une famille très stricte. Par conséquent, elle est très réservée et réfléchit toujours (trop) avant d’agir. Il n’est pas question de faire honte à sa famille ou d’échouer scolairement. C’est pourquoi elle pense en premier lieu à ses études.
Elle a souvent le nez fourré dans des livres. Attention, pas forcément pour apprendre, c’est surtout pour se détendre et échapper un peu à toute cette pression qu’elle se permet un peu de rêverie. Rien de tel qu’un bon livre et de la bonne musique pour calmer les mœurs. Vous aurez sûrement compris que Maiko est quelqu’un qui semble solide. En réalité, elle garde en général tout en elle jusqu’à explosion. À ce moment-là, il est rare de s’en rendre compte, soit parce qu’elle fait semblant de devoir partir, soit parce qu’elle se débrouille pour que vous ne voyez pas son visage énervé ou en larmes.
En revanche, une chose est sûre en tout cas et clairement visible, c’est que le sens du mot amitié elle le connait. Maiko est loyale envers ceux en qui elle place sa confiance. Cette dernière se mérite, et ce n’est pas parce que vous lui parler tous les jours que vous l’obtiendrez, les actes plus qu’une présence superficielle ont de l’importance à ses yeux. C’est uniquement avec ses amis qu’elle se laisse un peu aller, on se rend compte alors que c’est une fille joyeuse, qui n’aspire qu’à s’épanouir et à connaître sous toutes les formes le sens du mot s’amuser.


Commençons par les généralités. Maiko est petite, elle mesure un peu moins d’un mètre soixante. Elle pratiquait le sport uniquement au lycée, par conséquent la demoiselle a quelques formes (notamment dû à un ennemi appelé chocolat) sans pour autant que cela la fasse ressembler à un Bibendum.
Si on s’attarde plus sur les détails, sachez que Maiko a la peau claire, et si elle peut bronzer de manière facile elle préfère se protéger et ne pas ressembler à ces Kogals qui, à ses yeux, sont vraiment vulgaires en plus d’être laides. Toujours sur sa peau, vous pourrez apercevoir quelques grains de beautés qui se baladent, les plus amusants sont ceux qui, à bien y regarder, forment une longue ligne partant de la naissance de sa poitrine à sa hanche droite. Mais remontez un peu vos yeux. Vous voyez cette longue masse chocolat noir qui semble prendre fin sous ses fesses ? Bien, alors suivez-la jusqu’à son origine. Hé oui ! Cette longue chose s’est révélée être les cheveux de Maiko. Rassurez-vous c’est la taille limite, elle a tendance à les attacher pour être moins gênée. Ah ! Je vois que vous avez remarqué que ses yeux aussi sont d’un marron foncé ? Je vous l’avais bien dit, c’est une accro au chocolat. Oui, mais non, ce n’est pas parce que ses cheveux et ses yeux rappellent son péché mignon que son physique est bourré de messages codés. Alors non, le nez en trompette ne signifie pas qu’elle en joue, elle est plus portée sur le violon, ce qui explique pourquoi elle a parfois les doigts abîmés et qu’elle a les ongles courts.
C’est malin, à force de trop la regarder vous l’avez fait fuir, et je vous conseille de ne pas la suivre vu le regard qu’elle vous a lancé. Quoi ? Si elle marche toujours ainsi ? Oui, toujours, droite comme un « i », les épaules en arrière pour rehausser sa silhouette et en regardant bien devant elle. Quoique, je vous dis une bêtise. Quand elle a le nez plongé dans un livre, c’est assez comique, plus question de se tenir droite, elle se penche sur le livre comme si elle voulait y rentrer. Et faites attention, dans ces moments-là elle ne marche pas bien droite.
Ne vous fiez pas à ses vêtements pour la reconnaître de loin, seuls ses cheveux vous aideront. En effet, ne sortant presque jamais de l’école elle porte presque toujours la tenue réglementaire. Et, ce n’est pas parce qu’elle a été élevée de manière stricte et traditionnelle qu’elle porte le kimono à chaque instant de libre. Non, elle se contente de mettre des vêtements assez simples, comme ceux que portent toutes les jeunes filles qui ne cherchent pas à avoir un style particulier, mais qui ne veulent pas non plus ressembler à des femmes d’âge mûr.


Maiko est la fille unique du couple Aikawa. Elle a vu le jour dans un hôpital de Sapporo le soir du 13 mars 1991. Ses parents, Fujihiro et Akemi, souhaitaient n’avoir qu’un seul enfant pour pouvoir lui donner toutes les chances de réussir dans la vie. Un seul enfant, ça voulait dire moins de dépenses d’argent et de temps, moins de partage, et un investissement important possible dans les études futures. Leur but ? S’assurer une retraite et un avenir meilleur pour leur enfant.
Les Aikawa faisaient partie de la catégorie des classes moyennes assez aisée. La mère avait donc décidé d’arrêter son travail d’institutrice pour se consacrer à l’éducation de Maiko.

Maiko grandit dans une ambiance assez autoritaire. Elle ne voyait que très peu son père. Il partait tôt le matin pour travailler et rentrait tard le soir après avoir fait la tournée des bars avec ses collègues. En revanche, elle voyait trop sa mère qui ne la lâchait pas d’une semelle. De sa plus tendre enfance jusqu’à la fin de son lycée, elle l’emmenait partout. En cours, chez des amis, à la bibliothèque. Et comme elle ne pouvait pas sortir sans permission, adieu tout ce qui était loisir non constructif comme les soirées pyjama ou les parcs d’attractions. Maiko a donc été assez frustrée durant son enfance. Elle ne pouvait même pas jouer avec un frère ou une sœur. Alors, elle se les était inventés. Jin, était son grand-frère et Ai, sa petite sœur.

N’allez pas croire que ses amis imaginaires étaient son seul moyen de défense. Non, comme chaque enfant elle a essayé d’obtenir un peu plus de liberté, ce qui passait par des explications qui finissaient en dispute. Un jour, alors qu’elle avait 15 ans, elle avait décidé avec Ayame, sa grande amie de l’époque, d’aller à la soirée d’anniversaire d’un garçon qui leur plaisait. Sauf que les demoiselles n’atteignirent jamais la soirée. Akemi qui pensait que sa fille devait travailler avec Ayame retourna chez cette dernière pour donner à sa fille un livre qu’elle avait oublié dans la voiture. Quelle ne fut pas sa surprise de trouver sa fille, vêtue de manière si différente, quitter la maison avec un paquet-cadeau dans les bras. Mal en avait pris à Maiko de mentir. Ce fut la première et la dernière fois qu’elle reçut une gifle. Elle en fit tomber le paquet. Ce que lui dit sa mère ? Elle n’en a aucun souvenir, elle avait été trop choquée pour y prêter attention.

Les jours qui suivirent furent très silencieux. Jusqu’à ce fameux soir où son père annonça fièrement avoir eu une promotion, il devenait directeur d’une agence immobilière de Tokyo. Ce qui signifiait déménager. Mais, c’était ici, à Sapporo que Maiko était née. Ici, qu’elle avait grandi ! Dans cette ville, elle s’était cassé le bras pour la première fois en glissant contre une plaque de glace trop émerveillée par le festival de la neige. À Sapporo qu’elle était tombée amoureuse pour la première fois de Kenji à l’âge de 5 ans parce qu’il lui avait donné un gâteau au chocolat. À cet endroit qu’elle avait eu ses premiers amis, et fait toute sa scolarité. Partir pour Tokyo, cette ville polluée où tout allait trop vite ? Non merci ! Cependant, elle félicita son père et prétexta être fatiguée, c’est une fois dans sa chambre qu’elle lava à coup de larmes son oreiller avant de s’endormir.

Maiko fit donc à regret son lycée à Tokyo. Tout se passait relativement bien. Ils vivaient dans un petit quartier résidentiel. Les voisins étaient charmants et le fils de l’un d’entre eux allait dans la même école qu’elle. Cependant, elle refusa d’accorder trop d’importance aux autres. C’était Tokyo, c’était le lycée, et en trois ans il pouvait se passer tellement de choses pour qu’au final tout le monde se sépare et ne donne plus de nouvelles comme ça avait été rapidement le cas de ses anciens « amis » de Sapporo, même Ayame ne lui en donnait plus. Maiko s’enferma encore plus dans ses études pour le plus grand plaisir de ses parents. Cependant, elle ne se sentait pas assez confiante à la fin du lycée pour tenter les concours des grandes écoles de Tokyo et du Japon. Ses parents entendirent parler de la Ginkgo Gakuen qui commençait à avoir bonne réputation. Ce qui était ennuyant c’était le temps de trajet. L'école état à une heure de Tokyo, sa mère ne pouvait se permettre de faire le trajet tous les jours. Ils décidèrent alors de la placer en internat, elle avait 19 ans et serait majeure l’année suivante. De plus, l’école semblait sérieuse, notamment au niveau des horaires. C’est ainsi que Maiko fit sa rentrée en avril dans ce nouvel établissement scolaire plus loin qu’elle ne l’avait jamais été de ses parents.

Compétences particulières

Musique : Maiko sait bien jouer du violon, petite on a essayé de lui apprendre le piano, ça reste basique.

Langues : Elle parle couramment l’anglais, de manière scolaire pour l’espagnol et se débrouille assez bien en chinois.

Moyenne : 83/100

Elle ne me semble pourtant pas bien grosse la demoiselle ^^

Enfin, tout est en ordre. Je te valide donc.
Tu peux rejoindre tes camarades de chambrée. C'est la 201.

Bon jeu parmis nous.

Mici beaucoup ^^

Et non elle n'est pas grosse, mais le chocolat part facilement dans les fesses et le petit bedon ^^' (je suis une experte là dedans T__T)

Oh ! J'ai faillit oublier : pense à remplir ta fiche de perso dans ton profil. Merci.