{ Aya Shirogane } Nom : Shirogane Prénom : Aya Âge et date de naissance : 19 ans, 13 mai. Nationalité(s) : Japonaises Classe : prépa Club(s) : karaté

En savoir plus... Votre pseudonyme : Sun Votre âge : 18 ans Comment avez-vous connu le forum ? naufragée D'où vient l'avatar de votre personnage ? Haruhi Suzumiya

Calme. Tel est le maître mot pour désigner la personnalité d’Aya. Elle sait garder son sang froid dans beaucoup de situations stressantes. Réfléchie, elle ne prend aucunes décisions à la hâte et préfère prendre son temps. Très ouverte au monde, elle à une facilité étonnante d’aller vers les autres. La plupart du temps souriante et de bonne humeur, c’est une jeune fille d’apparence charmante et facile à vivre. Je dis « d’apparence » car, mine de rien, c’est cette adolescente est doté d’un caractère fort. Impulsive, elle se met facilement en colère et n’hésitera pas à élever sa voix pour se faire respecter et écouter. Du genre dominante, elle aime prendre les décisions au sein d’une équipe ou d’un groupe. Têtue, elle mettra tout en œuvre pour réussi à se faire comprendre et faire passer ses idées et son opinion. Elle peut changer du tout au tout, mais restera toujours fidèle à elle-même. Dotée d’une grande confiance en elle, acquise grâce à une pratique assidue du karaté depuis un jeune âge, elle sait ce qu’elle veut. Très tenace, elle ne laisse personne décider pour elle mais sait aussi se résigner et suivre la majorité. En somme, c’est une jeune fille qui aime se faire remarqué tout en gardant une certaine modestie.




Avant de sortir de la maison, Aya s’immobilisa devant le miroir accroché au mur du couloir. Détour obligé, pour une jeune fille de 19 ans. Se mordillant légèrement la lèvre inférieure, tic qu’elle avait lorsqu’elle était concentrée, en pleine réflexion ou en stresse, elle approcha son visage fin et ovale de la glace. Se passant d’un geste nonchalant sa main sur le front, Aya chassa une mèche rebelle et tenta de la remettre en place derrière son oreille. Peine perdue. Ses cheveux bruns et lisses ne se laissaient vraiment pas dompter. Lorsqu’elle se les attachait, il y avait toujours trois ou quatre mèches pour se faire la malle et quand elle les laissait détaché, c’était pareil. Autant ne pas se casser la tête et les laisser tomber - « telle une cascade aux milles reflets » comme dirait Eiji- sur ses épaules. A vrai dire, elle se trouvait plus mignonne comme ça. Mais ce n’était que son avis. En releva son regard, elle croisa le reflet de ses yeux. D’une couleur ambre, c’était la partie de son visage qu’elle préférait. Le maquillage chez elle est très discret, voire carrément inexistant. Le matin, elle n’a jamais le temps de se préparer et se préfère de toute manière au naturel.

Esquissant un sourire malicieux, elle se recula d’un pas et abaissa à nouveau son regard. La vue d’ensemble n’avait rien de particulier. Aya était une jeune japonaise, sa taille avoisinant le mètre soixante. Rien d’extraordinaire. Elle avait les bras et les jambes musclés, chose normale après 13 ans de pratique intensive de karaté. A cela s’ajoute l’engouement naturel qu’Aya a pour le sport, qu’il soit individuel ou par équipe. En ce qui concerne son style vestimentaire, eh bien, il difficile à définir. De classique à sportive en passant par élégant, Aya sait s’habiller en fonction d’où elle se trouve et de son envie particulière, bien qu’ayant une certaine préférence pour les chemises et jeans. Elle aime aussi mélanger les genres. Bien qu’elle n’aime pas passer des heures devant son miroir ou devant son armoire, elle prend quand même soin d’être présentable.




Tout commence un vendredi 13. En mai pour être plus précis. Fille d’une mère greffière et d’un père marin dans la marine américaine, Aya vit le monde sans complications dans un hôpital de Kyoto. A la famille appartenait encore un frère, Eiji, de trois ans son ainé, qui aura une importance toute particulière dans la vie de notre jeune fille. Elle eu une enfance simple et paisible. Son père était très souvent en mer et il arrivait qu’elle ne vi pas pendant plusieurs mois. Elle était donc toujours excitée lorsque l’homme de la famille rentrait, d’autant qu’il avait toujours des histoires palpitantes à raconter. Un jour il lui parlait des civilisations européennes, un autre de l’Amérique. Il avait même été jusqu’en Océanie. La petite Aya, âgée de 5 ans, l’écoutait avec toute son attention et sa naïveté infantile.

Lorsqu’elle eu 6 ans, elle entrait à l’école primaire. Mais ce fut aussi cette année là qu’Aya accompagna son Eiji, qu’elle admirait comme un idole, à un de ses cours de kendo. Mais ce qui capta l’attention de la fillette n’était pas ces êtres étranges qui se tapaient dessus avec des espèces de gros bâtons, mais bel et bien les gens en kimono qui se battaient avec les pieds et les mains, n’usant d’aucune tenue ni ustensile particulier et bizarre. Aya n’avait que 6 ans, et déjà elle savait ce qu’elle voulait. De retour à la maison, elle rabâcha sans cesse les oreilles de ses parents sur le fait qu’elle aussi, elle voulait se battre comme ces gens !

« Tu ne veux pas plutôt prendre des cours de danse ? Tu risquerais de te blesser au karaté … »

Mais têtue comme elle était, Aya n’eut besoin que de deux semaines – et d’un bon nombre de promesses- pour que ses parents finissent par craquer et accepter de l’inscrire au club de karaté.

Aya était la seule fille de son cours. Mais bizarrement, ce fut entre tous ces garçons qu’elle s’épanouit pleinement. Elle suivait avec assiduité les séances de karaté, arrivant sans problème à concilier cours et passion. Elle connu une rapide maîtrise des techniques de base et des kata. Elle eu une maîtrise totale sur son corps et était toujours concentrer. DE ce fait, elle passa rapidement les ceintures.

Je disais qu'elle arrivait sans problème concilier sa passion avec les cours. C'était effectivement le cas. De part le fait que son père lui parlait souvent de ses différents voyages, elle avait une culture générale assez grande. De plus, l'homme était à la marine américaine, il parlait donc anglais et eu l'adresse d'apprendre cette langue à sa fille. Elle la maîtrisa donc de manière bien plu correcte que la plupart de ses camarades de classe. Aussi, à l'école, elle n'eut aucun problème à se faire des amis. Pourtant elle prit rapidement l'initiative de rester avec les garçons. Les filles étaient la plupart trop immatures et trop à cheval sur la mode et tout ce qui tournait autour. De plus, Aya eu pas mal de prise de tête avec la gente féminine, ce qui la confortait dans l'idée que les filles était conne, chiantes et tête à claque. Elle se fit donc rapidement une place au milieux des garçons, car eux étaient des personnes avec qui elle pouvait parler de sa passion pour le karaté sans se faire traité de garçon manqué -ce qui, a vrai dire, ne la dérangeait pas plus que ça.

Soit. A l’âge de 19 ans elle put enfin nouer sa ceinture noire autour de sa taille. Elle en était on ne peut plus fière. Tout son chemin avait été parsemé d’embuches telles que des blessures plus ou moins sérieuses qui l’avaient arrêtée pendant près d’un an. A cela s’était ajouté des examens, qu’elle n’avait pas eus, malgré qu’elle ait tenté de travailler sérieusement. Aussi, le départ d’Eiji qui était parti réaliser son rêve américain dont il rêvait depuis son plus jeune âge, n’avait rien arrangé.

Mais, alors qu’elle avait raté son concours d’entré dans une université de Kyoto, sa mère trouva une offre d’emploie franchement intéressante dans un des tribunaux de Tokyo. Aya, qui avait toujours rêvé de découvrir cette ville, n’avait pas hésité longtemps à suivre sa mère.

Ainsi, Aya atterrie à l’âge de 19 ans dans la Ginkgo Gakuen. Une école sans renommée particulières qui proposait des cours du soir pour les élèves dit rônin. Cette école n’était que connue dans la région de Tokyo, mais son cadre était super. En rentrant à la maison le soir, après avoir visité le lycée, Aya n’avait qu’une envie : que la rentrée arrive et qu’elle puisse arborer avec fierté son kimono et sa ceinture noire au club de karaté. Peut-être faisaient-ils aussi passer les Dan au club ? Seul l’avenir nous le dira, mais ce n’était pas ce qui était le plus important aux yeux d’Aya.

Compétences particulières

Aya est ceinture noire de Karaté et compte bien évoluer encore. Ce serait trop dommage de s’arrêter maintenant.
Niveau scolaire : elle s’en sort avec un plutôt bon 80 sur cent. Aussi, elle est d’autant plus motivée pour bosser, car elle a envie de réussir.
Langues parlées : Japonais, Anglais et, au niveau scolaire, Espagnol et Coréen, deux langues aux sonorités franchement intéressantes. Aussi, elle a suivit des cours de grec ancien et de latin car « il n’y pas de langues mortes, que des cerveaux engourdis » comme dirait Zafòn.

Par les pouvoirs qui me sont conférés, fiche validée !
Bon jeu ! Tu seras chambre 202.

Et une fille supplémentaire o/

Bienvenue miss ^^

Et une fille qui fait du karaté...yeah bienvenue )

Bienvenue amie mosellane o/

merci les hommes :3

ReBienvenue noble amie échouée sur les rives de l'école ^o^