{ Aiko Takahashi } Nom : Takahashi Prénom : Aiko Âge et date de naissance : 17 ans, 11 janvier 1993 Nationalité(s) : Japonaise Classe : 2ième année, délégué de la 2-A Club(s) : Athlétisme et Vice-présidente du conseil étudiant?

En savoir plus... Votre pseudonyme : Selphira. Communément Selphy Votre âge : 16 grains Comment avez-vous connu le forum ? Onglet de recherche forumactif =D D'où vient l'avatar de votre personnage ? Kagamine Rin - Vocaloid

Pour résumer le caractère d’Aiko en un seul mot, celui qui semblerait le plus approprié serait sans aucun doute « surexcitée ». D’une bonne humeur sans limite, un sourire radieux éclaire habituellement son visage, pouvant se transformer occasionnelement en une moue boudeuse. Bout-en-train de nature, elle ne tient que très peu en place, et son attitude lui donne parfois des airs de garçon manqué. Pourtant, elle éprouve une affection particulière pour les représentants de la famille « fragiles et mignons », adepte de l’utilisation du mot « kawai », qu’elle emploie d’ailleurs à toutes les sauces. Peut-être dû à son hyperactivité infantile, les enfants sont généralement attirés vers elle et s’attachent rapidement à sa personne. Presqu’un vice chez elle, prendre soin des autres parait encré dans ses gênes, bien que ce puisse n’être que le reflet d’un besoin de se sentir utile. Maladroite et bruyante, elle accompagne souvent son passage de bruits d’objets se fracassant au sol, au grand damne des gens autour.

Décrite ainsi, elle a l’apparence de la parfaite énervante de service. Malgré tout, elle sait se tenir tranquille et n’est pas aussi volubile qu’elle s’en donne l’air. Du moins, elle prête l’oreille, ainsi que l’épaule, à chaque membre de son entourage qui en éprouve le besoin, adoptant une approche bien plus calme dans la situation. Malgré son peu d’expérience en relations amoureuses, celles-ci suscitent toujours son intérêt immédiat et elle se délecte des potins les transportant. Un tant soit peu naïve, elle accorde une confiance aveugle à quiconque se montre sympathique et joyeux, ne reconnaissant que rarement les manipulateurs et en payant les frais rapidement. Malgré cela, elle n’en est pas moins brillante et use d’un sérieux exemplaire concernant ses études, souhaitant se diriger à l’université vers le domaine de la médecine. Il est rare de la voir enragée, mais elle ne s’en prive pas lorsqu’on la pousse jusqu’à ses limites, bien qu’elle déteste humblement se prendre la tête, plutôt du genre imbécile heureuse.


Des vagues soyeuses d’aspect indomptables résument judicieusement la chevelure dorée de la jeune Aiko. S’arrêtant juste au dessus des épaules, ses mèches blondes s’agencent harmonieusement avec sa personnalité enjouée, s’entremêlant entre elles comme si des bourrasques les avaient soulevées et figées dans le temps. Malgré le refus catégorique de sa tignasse d’obtempérer aux traitements de la brosse à cheveux, elle parvient habituellement à maintenir sa frange en l’ornant de deux broches modestes et plutôt sobres. L’hérédité l’ayant affublée d’une teinte de cheveux commune aux Japonaises, elle choisit cependant de les teindre en le blond qu'elle arbore présentement, ses iris turquoise restant le seul témoin de ses origines françaises. Cependant, ses yeux gardent la forme typique en amandes, bien qu’arborant de très longs cils pâles et parfois en arrière plan sous ses lunettes de force moindre, qu’elle remplace la majorité du temps par des verres de contact.

D’apparence plutôt frêle, elle reste de la grandeur moyenne des adolescentes de son âge, d’un poids équilibré par rapport à cette dernière. Elle suit peu la mode et s’habille généralement de ce qu’elle trouve mignon, peu importe que ce le soit réellement aux yeux des autres. Elle affectionne particulièrement les shorts courts et les pull-overs, mais ne se plaint guère non plus d’être vêtue de l’uniforme scolaire. Féminine nonobstant son comportement exalté, elle rehausse son regard délavé de quelques coups de mascara et s’autorise du brillant à lèvres lorsque leur couleur rosée semble plus terne qu’à l’habitude. Son visage de porcelaine paraît toujours illuminé, du fait qu’un sourire réjoui étire constamment le coin de ses lèvres.

Adepte de sa propre culture, elle apprécie se vêtir du Yukata lors des festivals ou dès que l’occasion s’y porte. Pourtant, la jeune femme s’intéresse tout autant aux défilés parisiens, bien qu’elle évite de se parer de haute couture, évidemment.



Les notes résonnaient en écho dans le grand salon, se frayant un chemin jusqu’aux oreilles indiscrètes d’une jeune observatrice. Les longs doigts semblaient danser sur les touches du piano à queue, valsant au rythme de la musique provoquée, laissant les pulsations flottées et engendrées des frissons. Lorsqu’Aiko s’approcha à petits pas feutrés du banc en bois où était assise sa mère, cette dernière s’arrêta brusquement de jouer et installa la fillette sur ses cuisses. C’est dès lors, du haut de ses 6 ans, que la jeune fille démontra un intérêt pour le piano, et fit clairement comprendre à sa représentante maternelle qu’elle désirait apprendre cet instrument.

Comme il me tarde de préciser, Aiko Takahashi naquît sur l’île d’Honshu, en la ville métropolitaine de Tokyo, au tout début de l’année 1994, un 11 janvier, d’un père japonais et d’une mère française. Plutôt en banlieue de la ville en réalité, la résidence des Takahashi, famille de deux enfants, restait à la fois modeste et chaleureuse. Le seul élément de fierté se résumait aux 88 touches du grand piano s’élevant devant la baie vitrée d’une des pièces du rez-de-chaussée. Dès l’enfance, l’une après l’autre, les deux filles du couple, soit Aiko l’aînée et Satsuki la cadette, se virent attribuer des cours de piano, mais la dernière laissa tomber après la troisième année pour se concentrer sur le baseball. La plus vieille continua et se fit un nom parmis sa catégorie, remportant de nombreux prix lors de concours plus ou moins prestigieux, dépendamment. Ses proches s’étonnaient généralement de sa capacité à se concentrer sur cet instrument, puisque dans les autres sphères de sa vie, elle ne tenait jamais en place.

Elle vécut une enfance particulièrement anodine, n’ayant aucune difficulté d’adaptation grâce à sa personnalité ouverte. Lorsqu’elle arriva à l’adolescence, elle vécut ce que toute jeune fille expérimenta une fois dans sa vie, le premier amour. Watanabe Shouta-kun, son voisin depuis toujours et meilleur ami depuis d’interminables années. Lorsqu’elle comprit enfin les sentiments qu’elle avait à son égard, à l’âge de 14 ans, et qu’elle les lui confia, le jeune homme lui avoua ressentir une attirance marquée pour les individus du même sexe. La semi-japonaise ressentit les souffrances du premier chagrin d’amour, mais s’en remit rapidement, bien que son jeune ami ait rompu tout contact avec elle, déménageant dans l’année suivante. Elle trouva réconfort dans les bras du président du conseil étudiant de son école, maintenant âgée de 15 ans, avant le divorce de ses parents, un an plus tard.

Aiko n’accepta et n’accepte toujours pas cette séparation, qui eut entre autres conséquences celle de la vente de son piano à queue, ainsi que la réalisation déchirante que son amoureux n’en avait cure de ses émois. Prise entre l’égoïsme parental qui lui imposait de choisir, à temps plein, avec qui elle souhaitait demeurer, elle coupa court aux débats en prenant l’alternative d’aller vivre en pensionnat. Comme plus rien, mis à part sa meilleure amie, ne retenait l’adolescente en son lycée, il n’y eut aucune crise de larmes, son entourage s’étant résolu rapidement. Elle eut vent de Ginkgo Gakuen, un établissement à la bonne réputation et qui, bizarrement, sonnait comme du déjà-entendu à ses oreilles de musicienne. Convaincue qu’elle y retrouverait peut-être son disparu meilleur ami, elle fit ses bagages et entama une nouvelle vie scolaire.

Comme on aurait pu s’y attendre, elle afficha un enthousiasme surélevé face aux clubs et choisit de s’inscrire dans celui d’athlétisme. À l’aube de sa deuxième année, elle tenta le poste de présidente du conseil étudiant, motivée après avoir été nommée délégué de classe, et fut relégué à celui de vice-présidente.

Compétences particulières

- Joue du piano depuis l’âge de 6 ans
- Parle français, due à ses origines, mais est une vraie catastrophe en anglais
- Elle fait de l’Aïkido depuis plus de 3 ans, alors ses capacités sportives sont tout de même bonnes.
- Sa moyenne générale est de 85 %, elle se débrouille donc bien.
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Tout est bon o/

Tu es donc validée jeune fille. Ta chambre sera la 203 où tu es pour le moment seule. N'oublie pas de l'indiquer dans ton profil, ainsi que l'âge de ton personnage. Et bienvenue sur le forum :3

Amuse-toi bien !

Bienvenue sur le forum Aiko ^^

C'est bien que Kantaro soit secondé par une fille, il sera ravi XD (je parle évidemment du perso, pas du joueur).

Oui j'avais compris XD
Bien sûr, j'imagine qu'il sera immensément heureux *ironique*
Merci bien ^^

Je peux savoir qui est l'irresponsable qui a mis ... ça ... à la vice-présidence du conseil ?


( le joueur te souhaite néanmoins la bienvenue XD )

Bienvenue )

Kantaro --> Alors merci aux joueurs X')
Akihito --> Merci aussi ^^

bienvenue o/

Bienvenue chère dominatrice

Très joli avatar :3

Bienvenue !

Merci à tous ^^