{ Mitsu Rowani } Nom : Rowani Prénom : Mitsu Âge et date de naissance : 17 ans, 10 mars 1993 Nationalité : Japonaise Classe : 2ème année Club(s) : Manga/Dessin

En savoir plus... Votre pseudonyme : heu… Mitsu ? sinon Lyla mais ça ne vous aidera pas Votre âge : 20 et quelques années en plus Comment avez-vous connu le forum ? En cliquant sur le lien dans un profil sur un autre forum D'où vient l'avatar de votre personnage ?Jinny – WarrenLouw

Complètement dans la lune, Mitsu passe le plus clair de son temps à rêvasser le nez au ciel. Lorsqu’enfin elle délaisse sa contemplation de la lune, des étoiles, soleil ou nuages (tout lui convient), elle plonge le nez dans son carnet de croquis/notes ou un livre quelconque. De cet état de rêverie quasi permanent découlent naturellement plusieurs défauts notables : la maladresse, une sorte de « je-m’en-foutisme » latent plutôt rebutant pour ses camarades, ainsi que la difficulté à s’intégrer. Cloisonnée dans sa petite bulle, elle ne parle que rarement et quand enfin des mots s’échappent de ses lèvres, sa voix se révèle suave et susurrante, calme et enivrante. Loin du murmure de petite souris timide, elle a le ton des gens qu’on écoute dès qu’ils ouvrent la bouche teinté d’un soupçon d’autorité.

Malgré ses dehors « absents », Mitsu écoute les autres bien plus qu’il n’y parait – il faut naturellement qu’elle dévisse ses écouteurs de ses oreilles avant -. Dès qu’on arrive à la sortir de ses songes, elle se montre attentive et d’excellent conseil. Son ouverture d’esprit attire les confidences sans crainte d’un jugement. Si la demoiselle écoute avec une patience d’ange, elle semble incapable de se confier elle-même. Pour en apprendre un peu sur elle, il faudra s’armer de patience et livrer une dure lutte contre son mutisme. Si sa maladresse la condamne à s’excuser très fréquemment et qu’elle semble d’une politesse à tout épreuve, parfois transparait une pointe d’esprit rebelle, une envie de tout bousculer et de briser les schémas établis.

Son rapport aux études est très bipolaire. En classe, elle prend des notes en participant au strict minimum. Assimilant très vite la matière en écoutant et prenant des notes, elle se retrouve très vite à repartir dans son travers rêveur. Par contre, d’un naturel un peu solitaire, elle passe beaucoup de temps à remettre au propre ses gribouillis pris durant le cours et révise de fait énormément. En temps d’examen, elle relit ses résumés – souvent remplis de couleurs et schémas explicatifs personnels – avant de s’endormir. Sa concentration passe du rien courant au tout avec un soupçon de maniaquerie. Mitsu en veut et se donne énormément dans ses études. Rêvant secrètement d’être écrivain à succès, elle considère que toutes les branches, sauf les maths, sont d’une nécessité absolue pour écrire des récits éclairés et intéressants.

Malgré les apparences, Mitsu n’est pas une jeune fille triste. Elle n’est pas spécialement malheureuse et surmonte plutôt bien les petites contrariétés de la vie. Elle est simplement enfermée dans son petit monde à elle et n’en éprouve pas le besoin de s’en sortir véritablement. Bien que de temps en temps, elle lorgne vers les autres et tente de s’intégrer un peu. Ces phases-là, souvent trop soudaines pour être prévues par les autres, se soldent souvent par un échec devant la réaction à sa tentative. Elle en conclut généralement l’expérience à ce stade. Comprenant les rouages de la pensée humaine via ses lectures, elle en oublie que la pratique et la théorie diffèrent toujours grandement. Souvent agacée que les comportements puérils des autres adolescents, elle est parfois beaucoup trop sûre de son intelligence. Heureusement, ce début d’égocentrisme et d’auto-suffisance est atténué très largement par une sensibilité – et non sensiblerie – exacerbée. Tout son caractère s’est d’ailleurs formé pour faire barrière à ce trop plein d’émotions, qu’elle jugule généralement avec brio.

Quant au domaine sentimental, elle ne montre pas plus d’intérêt envers les garçons que les filles. Elle a cependant déjà eu un petit ami dans son précédent lycée. La curiosité prévaut pour le moment et elle s’intéresse plus aux personnalités qu’aux physiques des gens. Elle a cependant un faible pour les « bad boy » et les amies colériques ou taciturnes.


Japonaise pure souche, Mitsu culmine toutefois à un peu plus du mètre soixante-treize. Ses cheveux ébène cascadent jusqu’à mi-dos, dégradés sur l’avant et s’ébouriffent d’un joli volume pour encadrer un visage-porcelaine. En cours, elle les attache simplement pour éviter qu’ils ne balaient son joli minois et l’empêche de dessiner ou d’écrire. Toujours dans le vague, ses yeux de biche scintillent gris foncés au-dessus de son nez en trompette. Ses lèvres ourlées s’étirent fréquemment d’un fin sourire en coin, mi-taquin, mi-agacé. Mince et athlétique, elle fait la fierté d’une mère très à cheval sur l’apparence qui la rêve déjà actrice ou mannequin.

En dehors des cours, Mitsu, à contrario de son caractère rêveur, se pare de tenues très féminines et élégantes. Les jupes courtes ou fendues mettent en valeur des longues jambes ciselées. Les hauts ajustés soulignent une poitrine généreusement fournie. Pourtant, sur ces tenues à la mode et la mettant en valeur, elle s’échine à porter des gros pulls d’homme déformés. Il est difficile de savoir si c’est par timidité réelle ou plus par simple esprit de contradiction. Cette collection d’immondices masculines provient de deux sources différentes : les vieux pulls de son paternel (pour le coté rassurant et fille à papa) et un ou deux sweat de Sanzo qu’elle a conservé par sentimentalisme. Hormis ce petit bémol, le reste de sa garde-robe se constitue de vêtements griffés et coupés à la perfection, des souliers à talons hauts de bon goût. Il sera très facile de comprendre après un bref échange avec la jeune fille qu’elle n’achète pas elle-même ses vêtements et qu’une maman maniaque a tout organisé pour sa poupée préférée.

Bien au fond de sa garde-robe se cache un pantalon d’homme très large. Lorsqu’elle se promène le weekend, elle s’en vêt et s’éclipse le plus discrètement possible. Soucieuse de sa réputation ? Non, elle est surtout soucieuse d’éviter de mettre sa mère maniaque au courant de cette entorse au bon goût et de devoir souffrir le temps d’un long serment sur la manière de s’habiller.

Pour gâcher encore un peu ce tableau de jeune fille modèle, qui la verra parler apercevra sur sa langue un piercing briller. A ces oreilles, elle suspend de larges boucles d’oreilles argentées où il n’est pas rare qu’elle suspende distraitement un stylo pendant qu’elle étudie… et que naturellement elle oublie ensuite.



Avril 92, Hidesaku Rowani – chirurgien de renom issu d’une bonne famille – opère une jeune modèle – Sayuri – pour gommer une vilaine cicatrice. Tombé sous le charme de la jeune femme, il l’invite rapidement à tête à tête. Après quelques mois de fréquentations, ils se marièrent. La petite Mitsu pointera son nez quelques mois plus tard.

La petite famille, très aisée, s’installa alors dans un quartier résidentiel de Tokyo. Durant les dix premières années de la vie de Mitsu tout se déroula comme dans un conte de fée. Ils étaient riches, en bonne santé. Elle était bonne élève, faisait de la danse. Sa mère la choyait en l’habillant comme une petite princesse pour montrer à quel point elle était mignonne. Sayuri, ayant abandonné sa carrière, passait la majorité de son temps à enseigner les diverses langues apprises lors de ses voyages à la petite et rassembla peu à peu une collection d’art « européen ». Les résultats de la gamine faisaient le ravissement de ses parents, qui se félicitaient d’avoir mis au monde une progéniture aussi facile à vivre.

Puis, comme bien souvent de nos jours, l’amour entre Hidesaku et Sayuri s’évapora sous le poids des ans. Le travail prenant de son père, l’obsession de sa mère pour l’Europe achevèrent de distendre les liens de leur mariage. Rapidement, ils divorcent. Pour gagner sa vie et ne pas dépendre uniquement de la pension alimentaire, sa mère ouvrit une galerie d’art en ville. Son père continua à s’échiner sur son travail. Livrée à elle-même, l’enfant éveillée et radieuse céda doucement sa place à une jeune adolescente renfermée. Pour compenser son manque d’implication, Sayuri s’enferma dans une spirale pour polir sa fille des imperfections et la rendre « parfaite ». Tenues à prix exorbitants, surveillance étroite de son alimentation, flicage de ses relations, elle s’insinuait partout dans la vie de sa fille dès qu’elle le jugeait nécessaire.

Croyant avec le temps que la seule chose qui intéressaient ses parents étaient ses résultats scolaires, Mitsu s’échina à rester dans les premières places. A coté de cela pourtant, elle s’enfermait de plus en plus, cessant de fréquenter les clubs dont elle faisait partie, abandonnant les cours de danses d’un professeur payé grassement par sa maman. Peu à peu, ses deux uniques passions occupaient tout son esprit, le dessin, l’écriture. Malgré un univers réduit, elle semblait plus épanouie d’une certaine manière. Evacuant ses tensions et laisser couler son imaginaire en divers écrits et dessins, la jeune fille se complaisait dans ce nouveau monde de fonctionnement jusqu’à la mutation/promotion de son père dans une clinique éloignée de la capitale.

Dès lors, le précaire équilibre brisé, Mitsu ressentit ce nouvel éloignement comme une trahison et un nouvel abandon. Tiraillée entre ses parents qui souhaitaient l’un et l’autre qu’elle vive à leur coté et s’incrive dans un lycée proche de leur lieu d’habitat, Mitsu le supporta très mal. Comme un appel à l’aide inavoué, elle se rebella en cherchant à faire enrager ses parents soucieux de leur image (et de son avenir mais difficile de comprendre ça adolescent). La solution fut rapidement trouvée : un garçon de son âge, Sanzo, dernier de la classe, bagarreur et « mauvais » garçon. Ainsi commencèrent-ils à se fréquenter. La manœuvre intiale pour faire enrager père et mère fonctionna à merveille. Unique accroc à son plan, les deux jeunes gens s’attachèrent l’un à l’autre et formèrent rapidement le couple le plus improbable qu’ils soient. La rêveuse et le belliqueux toujours fourrés l’un avec l’autre tissèrent une belle histoire d’amour remplis de premières fois. Les colères soudaines de l’un soulageaient l’incapacité de l’autre à l’exprimer. Le calme de l’autre éteignait les excès de rage de l’autre. Bref, un équilibre s’instaura entre eux. Puis quelques mois plus tard, ils rompirent en se rendant compte que le lien était devenu plus amical qu’amoureux entre eux.

Craignant une nouvelle rébellion plus violente, un petit ami pire que l’ancien et un retour à un état d’isolement précédent, Père et Mère se chamaillèrent longuement pour déterminer une solution au problème. Mitsu proposa alors d’entrer dans un internat jusqu’à la fin de sa scolarité, si possible dans un excellent lycée pour s’ouvrir les portes des meilleures universités. Croyant qu’un cadre plus strict lui permettrait de s’épanouir à nouveau, ils se mirent à chercher la perle rare. Ainsi l’idée de Ginko fut soumise. Examen passé avec brio, elle y entra en avril en 2ème. Bien que les débuts furent difficiles, elle semble mieux s’adapter depuis la rentrée du second trimestre.

Compétences particulières

- N’arrive à strictement à rien en mathématique dès qu’il est question de retenir des formules. Se montre par contre très bonne lorsqu’il s’agit de logique.
- Assimilant très vite la matière, elle semble perpétuellement s’ennuyer en cours et elle fuit très vite les explications en observant l’extérieur d’un air songeur ou griffonnant sur son carnet de notes, aussi elle se fait régulièrement rappeler à l’ordre.
- Bien que douée en sport, elle échoue régulièrement aux tests en se cassant la figure par maladresse ou par distraction, raison pour laquelle elle n’est inscrite dans aucun club d’activités physiques.
- A un niveau correct à bon en langue, parle en plus des langues enseignées à l’école le français et un peu d’italien.
- A un don pour l’écriture et a un niveau appréciable en dessin
- Moyenne à 79%

Bienvenue chez nous !

Tout est correct, tu es donc validée. Tu seras logée en chambre n°207, nombre à noter avec les autres infos dans ton profil.

Amuse-toi bien :3

Bienvenue jeune fille o/

J'espère que tu te plairas parmi nous :3

Je sens qu'on va bien s'entendre en cours de maths
Bienvenue !

*fais un baise main* Bienvenue, charmante demoiselle.

Welcome =)
Et Nagisa te dit : bienvenue nouvelle colocataire o/

Merci à tous pour l'accueil !

Carthan - Effectivement cela risque d'être relativement "tendu" en cours de math.

Ryuu, tu peux transmettre à ma colocataire que je serais ravie de discuter avec elle à l'occasion !

Bienvenue

En retard mais bienvenue )

Merci ! ça fait plaisir tous les bienvenues !

Yosh, c'est tardif mais j't'avais visiblement oubliée. Bienv'nue sur l'forum jeune damoiselle !

Merci madame ! Mieux vaut tard que jamais héhé !