Ryuu Hasegawa

Élève de la 1-A

{ Ryuu Hasegawa }

Nom : Hasegawa (aucun lien de parenté avec le prof)
Prénom : Ryuu
Âge et date de naissance : 17 ans, 14 septembre 1993
Nationalité : japonaise

Classe : 1ère année
Club(s) : Natation

Votre pseudonyme : Cathan le sait hé hé hé.
Votre âge : Beaucoup de bougies

Comment avez-vous connu le forum ? J'y suis déjà

D'où vient l'avatar de votre personnage ? de l'artiste Heise

Caractère

La joie de vivre incarnée ! Comment ça, ce n'est pas suffisant ? Bon, c'est bien parce que c'est vous que nous allons faire un effort d'élocution. Mais sachez que d'ordinaire, Ryuu ne parle pas beaucoup : et pour cause ! Alors, à défaut, il observe. Non pas pour étudier le comportement humain, ni pour une certaine curiosité mais parce qu'il n'a fait que ça pendant un grand nombre d'années. Regarder les gens sans jamais pouvoir rien leur dire. C'est peut-être à cause de ça d'ailleurs qu'il fuit tous les conflits et entraine avec lui dans sa fuite, quiconque pourrait se trouver dans une situation dangereuse. Quand on ne peut pas argumenter et qu'on est du genre pacifiste : que nous reste-t-il d'autre ?

Les seuls êtres à qui il tient tête se résument aux insectes et accessoirement, aux personnes qui lui sont chères. Ce petit côté protecteur sans doute ; cette manie d'être le grand frère, l'ami, le confident. La personne attentionnée qui ne veut qu'une chose : vous voir heureux, quitte à devoir vous ouvrir les yeux à un moment ou un autre ! A côté de ça, il semble prendre tout à la légère, s'amuser de tout, d'un rien... pourtant c'est un être sensible. On ne peut pas avoir un grand cœur de pierre, ça serait incohérent. Tout comme ça serait fâcheux d'être timide quand on adore aller au devant des autres. Donc non, le garçon n'est pas timide, que du contraire. La timidité et la pudeur lui sont relativement inconnues. Mais il connait malgré tout les limites à ne pas franchir...

Avec Ryuu, il n'est nulle besoin de chercher la face cachée : il n'y en a pas. Pas vraiment du moins. Rien à signaler derrière son grand sourire franc et sincère, ni même derrière son air espiègle. Ce dont vous avez l'impression au premier coup d'œil, c'est ce qu'il est. Enfin si vous le voyez comme un grand enfant qui peut se montrer mâture en cas de besoin, du moins. Par contre, derrière son regard... en y prêtant bien attention, parfois, on peut y voir de la tristesse. Car, comme il est dit plus haut, il a du cœur et un rien peut l'émouvoir. Sauf qu'il est trop fier pour le montrer, voilà tout. Alors il continue de sourire pour donner le change mais on sent que le cœur n'y est pas. Mais bon, ça reste du domaine de l'exceptionnel à côté de son caractère habituel qui tend à s'amuser, amuser les autres et vivre à 300 à l'heure.

Car on ne flemmarde pas quand on s'appelle Ryuu Hasegawa, on bouge. Tout. Le. Temps ! Okay, là aussi il y a des exceptions à la règle mais elles sont vite reléguées au second plan quand le jeune homme décide que la stagnation est de trop. Ce qui arrive relativement vite compte tenu que monsieur est un grand impatient. Ça par contre, c'est sujet à contradiction : Ryuu est du genre excité comme une puce, incapable de tenir deux secondes comme le ferait un enfant dans certains cas, et dans d'autres, il a une patience d'ange. Tout dépend du contexte en quelques sortes...

Nous pouvons donc le résumer comme suit : un grand gamin, toujours partant pour l'aventure et les pitreries. Comme un enfant d'ailleurs, il fait souvent preuve d'affection, n'ayant pas peur d'embrasser une fille sur la joue sans raison ou de cajoler un nounours pendant qu'on lui parle. À côté de ça, il est aussi mature pour son âge, assez pour savoir rester calme et attentif quand le besoin s'en fait sentir. Cela vous parait être deux personnes différentes ? Peut-être... ou alors il sait juste quand il faut être sage et quand il peut se laisser vivre, tout simplement.

Physique

Commençons, pour changer, par ce qui ne se voit pas mais s'entend. Ou plutôt ce qu'on devrait entendre : la voix ! Rien à voir avec celle d'une célèbre TV réalité mais bien celle de Ryuu. Or, on ne l'entend pas ou très, très peu. Il faut dire qu'il ne l'aime pas car elle est souvent mal articulée et sourde. C'est le cas de le dire compte tenu de sa surdité qui l'a complètement coupé du monde pendant des années. Ô mon dieu, vous n'aviez pas remarqué l'appareil auditif qu'il a à l'oreille droite ? Il faut dire qu'il le cache bien derrière sa tignasse toujours en bataille, d'un splendide noir aux reflets métalliques. À moins qu'il vous aie captivé avec son beau sourire aux dents éclatantes ? Ou son regard noisette complètement enjôleur peut-être ? Non... bon. On aura essayé au moins.

Qui ne tente rien n'a rien, n'est-ce pas ? Alors, fort de cette devise, Ryuu a aussi tout testé, même au niveau vestimentaire. Mais ça reste relativement masculin sans devenir viril. Ni androgyne non plus. Tout au plus ose-t-il une touche d'excentricité dans les couleurs et les coupes mais rien de bien extraordinaire pour un tokyoïte pur souche ! Là où il se démarque c'est... bah en rien, finalement. Il est un beau petit bishônen comme on les aime... ou pas. Un vrai physique de johnny's. Oui, oui mesdames : avec le sourire Colgate, le gel dans les cheveux, le teint légèrement hâlé pour donner bonne mine et tout et tout ! Il a même son lot de piercings si vous voulez savoir : deux à l'oreille gauche, deux à l'oreille droite et un... suivez son index.

Oh les petites coquines, vous regardez trop bas.

À quoi sert un piercing si on ne peut pas le montrer à tout le monde, hm ? Il est au nombril ! Vous savez, ce petit trou, nœud, appelez ça comme vous voudrez, qui se trouve au centre du corps. Enfin en théorie. Ce qui le situerait environ à quatre-vingt quatre centimètres de hauteur dans son cas, et à dix-sept centimètres de large (si on se réfère aux normes qui veulent qu'un vêtement taille 34, équivaut à un tour de taille de 68 centimètres, soit deux fois 34). Bref, vous l'aurez compris, le corps va avec le mental : une vraie gueule d'ange nippon avec des mimiques de bébé qu'on voudrait bien cajoler. De quoi réveiller l'instinct maternelle des ménagères... et pas que ça parfois, croyez-le bien. Mais ceci est une autre histoire. Ou pas.

Biographie

14 septembre 1993, le 1er ministre israëlien Rabin et le leader palestinien Arafat signaient un accord de paix, le vol 2904 entre Francfort et Varsovie ratait son atterrissage, et accessoirement : des bébés sont nés ! Dont une jolie petite bouille nippone qui rendaient les infirmières accro. Et oui, déjà à cet âge là, Ryuu plaisait à la gente féminine. Pourquoi ? Parce que c'était un nourrisson de rêve. Toujours souriant et ne pleurant que dans deux occasions : quand il avait faim ou quand ses couches nécessitaient une révision. Mais quand ça arrivait, ce n'était pas de la tarte. Aucun jeu de mot là-dedans... Le bout de chou savait faire des vocalises ! Mais on lui pardonnait l'excès de décibels compte tenu que le reste du temps (et même la nuit !) il était d'un calme olympien contrairement aux autres bambins qui hurlaient pour tout et pour rien...

C'était certes bien mignon d'avoir ce petit rayon de soleil sous la main, mais un médecin scrupuleux vint entacher le tableau en lui faisant passer un simple petit test FA.TI.DI.QUE. Selon lui, un bébé ne peut être aussi calme sans cacher une erreur technique quelque-part. Le problème ? Une oreille complètement HS à gauche et un déficit sévère à droite. Si les parents ne connaissaient pas le langage des signes, il fallait l'envisager au moment précis où le pédiatre revint avec les résultats. Une tare héréditaire apparemment. Remontant à plusieurs générations visiblement, car les parents ne réussirent pas à mettre un nom sur la dernière personne sourde de la famille. Le point positif ? Ryuu pourra bénéficier d'un appareillage lui permettant de ne pas être complètement coupé du monde. L'inconvénient ? Si vous n'avez pas encore compris : il est sourd !

Autant que vous le sachiez, on vit relativement bien avec. Certes, on n'entend pas aussi bien que monsieur tout le monde ; on a de sérieux troubles de la parole mais dans l'ensemble : voyez le résultat ! C'est écrit plus haut, dans le caractère. Quand on ne connait que ça depuis sa naissance, que voulez-vous qu'on fasse d'autre ? Qu'on pleure pour avoir quelque-chose qu'on ne connait même pas ? En plus, c'est la classe quand même de savoir lire sur les lèvres et parler le langage des signes. Puis, pour un père responsable des ressources humaines dans une grande société, ça amène même un peu d'humanisme et de tolérance : que demande le peuple ? Quant à sa mère : avec ou sans handicap, elle restait la douceur même, qu'on demande à une bonne maîtresse de maison sans emploi. Entendez par là « sans emploi rémunéré » parce que mère au foyer, c'est quelque-chose !

Mais avec un fils unique comme Ryuu, c'était malgré tout plus simple. Oui, oui : simple. On pourrait croire le contraire, mais c'était le cas. Son optimisme et sa joie de vivre compensait sérieusement sa lacune. Il fallait juste lui apprendre à réduire les décibels quand un son sortait de sa bouche et le conduire régulièrement chez une rééducatrice pour lui apprendre à parler correctement, souvent à l'aide du langage des signes. Puis, évidemment, il fallait une école adaptée. Ce qui fut le cas en maternelles et primaires. Une chance qu'ils vivaient à Tokyo, la ville où on trouve tout ! Ryuu voyait ainsi des professionnelles éducatifs pour enfants malentendants et apprenait à être autonome. Assez pour qu'au collège, on lui autorise à aller dans un établissement dit « normal » avec au moins un éducateur en mesure de gérer son cas.

Un cas bien simple encore une fois. Si on faisait abstraction de son audition réduite et des petites astuces pratiques pour la classe (le mettre au premier rang par exemple, ce qui est généralement suffisant pour qu'il comprenne l'enseignant. Et bien sûr, éviter de lui faire faire de la lecture à voix haute.) ; il était un adolescent exactement comme un autre. Avec, en prime, la bonne éducation japonaise que tout parent souhaite voir en sa progéniture : poli, serviable, drôle, studieux, ... ouais bon, il n'y a pas que des bons points. Chaque enfant a son défaut de fabrication. Physiquement, c'était les oreilles. Personnellement, c'était son besoin d'autonomie ! D'habitude, la crise d'adolescent se traduit par une rébellion : pas chez lui ! Pourquoi faire des caprices quand on a une maman aux petits soins et un riche père qui dépense sans compter ?

Il ne leur restait plus qu'à céder à son besoin de vivre seul, ou presque. Sans leur surveillance en tout cas. Mais pour ça, il fallait respecter leur unique condition : réussir l'examen d'entrée du meilleur internat de la région. Pas question qu'il parte à la Saint-glinglin ! Quand ce fut chose faite pour ce petit scientifique en herbe, se prédestinant au métier d'expert scientifique pour la police (Gressom, Mr Brain, tout ça, vous voyez...) Il ne manquait plus qu'une chose, que Monsieur Hasegawa s'empressa de faire une fois que son fiston eut reçu la lettre d'admission à Ginkgo Gakuen. Il alla voir le directeur pour lui octroyer une subvention. Pas pour donner un traitement de faveur à Ryuu mais pour s'assurer qu'il serait en de bonnes mains et qu'on songerait aux petites astuces scolaires comme celles citées plus haut. Le traiter comme tout le monde était une chose (une bonne chose) mais oublier complètement son état en était une autre (nettement moins bonne).

Enfin voilà quoi, pas de quoi fouetter un chat. Si on met de côté son handicap, Ryuu a eu une vie tout à fait normale jusqu'ici et compte bien continuer sur cette lancée.

Compétences particulièresEn musique, vous vous doutez bien que c'est proche du néant. Sa seule notion en la matière sont les ondes qui se dessinent sur un écran d'ordinateur. Quant au sport, il se défend. Ne lui demandez pas de marcher sur une poutre bien évidemment (car c'est bien connu, un souci à l'oreille entraine souvent des soucis d'équilibre) mais pour le reste, il gère. Quoique non, les sports d'équipes sont un peu difficile aussi. Ça crie dans tous les sens généralement, alors quand on n'a qu'une oreille affaiblie pour écouter : c'est galère ! Mais il n'en reste pas moins un athlète qui nage véritablement comme un poisson dans l'eau. Puis enfin, au niveau scolaire : c'est un boulimique de lecture (comme quoi, il peut tenir en place de temps en temps). Tout y passe et principalement les revues et bouquin scientifique. Que ce soit en japonais ou en anglais. Donc, autant dire que c'est une tête en anglais, en science et en math. Le reste, faut pas trop en demander, okay ? Mais dans l'ensemble, quand ça nous fait un petit 82 %, on ne va pas rouspéter, n'est-ce pas ? Sinon, question « autres compétences », il parle le langage des signes et sait admirablement lire sur les lèvres, même si vous êtes à plusieurs mètres : sourd mais très loin d'être aveugle le petit !

**Administration** Compte commun

Allez, bon pour le service, évite juste de perdre ton appareil dans la piscine :3
Tu rejoindras Shikkan chambre 107, à mettre dans la fiche, tu connais la procédure.
Bon jeu !