A moi ! A moi ! A moi ! Chronologiquement parlant, of course !



Topic :

« Besoin d'un cigarette » - Ruika : Retrouvailles très difficiles entre les deux ex-amants au milieu d'un océan de neige de vent glacial.

« Panique 39 » - Ruika : A nouveau les deux se croisent. Peut-être est-il temps de parler avant d'hurler non ?

« Lieu sous surveillance » - Sharwyn : Premier choc entre le brun et la demoiselle au regard profond. Sous la tempête canadienne, elle plie mais ne se casse pas. Mais Erwann n'est aussi méchant avec tout le monde... ou pas.

« Comme dans un Stefen King »- Majoren : Un petit joint entre les deux amis. Le calme avant la tornade ?

« Panique tout court » - Ruika : La vie est parfois une belle salope

« Entre air et eau » - May : Du sexe et du bikini gratuit ? Le brun ne dit pas non... .

« Dans la boue » - Majoren : Le début de la fin pour la brune et le brun. Comment leurs plus gros ennuis ont commencé, comment leurs vies ont basculé. Du feu, du sang, des larmes... le pied quoi =)

« A pas feutrés » - Mineko : Quel sale caractère il a des fois cet Erwann!

« Piano glacé » - Ruika : La fin de la fin ?

« Cours d'histoire » - Plein de gens

« Un baleine au port » - Scénario

« Gimme a bullet » - Majoren : Retour à Tokyo pour le brun par la voie des eaux. Retour dans l'appart et un gros câlin en prime. Pourtant les choses ne sont pas si rose qu'elles en ont l'air... .

« Un coca ne tue personne » - Sharwyn : Erwann aurait-il manqué à la belle Sharwyn ? =]

« Back, still in black » - Tsuyu : En cours


Majoren:



La première impression est toujours la meilleure. C'est d'ailleurs justement exactement ça avec la belle brune. Il fallait que le côté obscur d'Erwann trouve quelqu'un en qui se retrouver, et il a trouvé Majoren, Maj', pour les intimes. Il était dans la même chambre, la chambre numéro 39, alors forcément, ça créé des liens. C'est lors d'une froide nuit de fin d'hiver que la brune et le brun eurent comme un éclair de clairvoyance et qu'ils finirent l'un dans les bras de l'autre. Puis après, tout s'est enchainé assez vite, sur un fond d'amitié ambigüe et de fumée opaque. Mais ne croyez pas que tout roulait sur des roulettes, car une autre nuit, cette fois ci à l'extérieur, les deux vies basculèrent dans la clandestinité le temps de quelques coups de feu et de faucheuse. Tout ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort, c'était sûr, mais dans ce cas là, c'était eux les méchants, et la règle ne s'applique pas aux méchants. Au final les deux en sortirent encore plus proches, ils commencent à se connaître beaucoup, peut-être plus qu'ils ne veulent l'admettre. Erwann se risque à l'aimer beaucoup également, peut-être plus qu'il ne veut l'admettre. Bref, affaire à suivre.


Ruika :



Un premier amour qui a laissé plus de plaie ouverte que de cicatrice. Si Erwann évite d'y penser, il ne peut en aucun cas éviter d'en souffrir. Ils se sont rencontrés chez lui, en Nouvelle-Ecosse, et y vécurent six mois magiques, peut-être un peu trop. Erwann en fut amoureux, ça c'est sûr, et peut-être que tout est de sa faute si tout a mal fini. Pourtant il avait réussi à tout oublier, jusqu'au jour où la japonaise est réapparue. Ça a fait comme un coup de massue sur un ballon de baudruche rempli d'eau. Là aussi c'est ambigüe, car il sait qu'il pourra toujours être là contre elle pour la sauver de la mort maladive, mais il sait aussi qu'il en souffrira encore plus. Sans parler d'elle. Bref, le canadien s'efforce de se convaincre qu'il n'y est pour rien. De toutes façons, Ruika a disparue, elle n'est plus à Tokyo. Erwann ne préfère pas penser à ce qui pourrait lui être arrivé.


Sharwyn :



Quand deux silex se rencontrent, ça fait parfois des étincelles. Ce fut le cas pour Sharwyn et Erwann. Mais assez vite, Erwann aperçu dans les yeux de la jeune femme comme une lueur. Électriquement parlant, les regards furent plus productif qu'une centaine de centrale nucléaire. D'ailleurs le souvenir qu'Erwann en garde, c'est un long et plaisant frisson dans l'échine. Pourtant plus tard, quelque chose d'étrange naquit entre les deux personnes, comme si l'un et l'autre se comprenaient sans vraiment se comprendre eux-même. Au final, Sharwyn, malgré un dégout explicite pour les hommes a pu accorder au canadien une sorte de trêve. De son côté, Erwann a eut la brève confirmation que les plus belles fleurs sont parfois les plus dangereuses, et toujours les plus fragiles.



[Pas forcément fini fini...]