{ Akutsu Moe } Nom : Moe Prénom : Akutsu Âge et date de naissance : 23 ans, 17 août 1986 Nationalité : Japonaise Métier : Professeur d'anglais

En savoir plus... Votre pseudonyme : I'm a tea pot Votre âge : 21 ans Comment avez-vous connu le forum ? Je l'ai créé :p D'où vient l'avatar de votre personnage ? Kyosuke Mikoshiba du jeu Storm Lover

Je crois que je suis quelqu'un de simple. Non, vraiment, les petits bonheurs de la vie me suffisent amplement, je ne raffole pas des grandes quêtes et des souhaits quasi irréalisables. Peut-être parce qu'ils ont longtemps été banals pour moi tant j'avais tout alors que j'étais plus jeune. Alors ouais, je dirais que je suis plutôt simple. Le genre de mec cool et souriant, plutôt généreux et protecteur. Un vrai chevalier qui s'attire parfois des problèmes à cause de ça, qui fait des conneries, réfléchit pas toujours assez mais assume.

Et puis malgré tout j'ai des principes et je m'y tiens. Surtout vis-à-vis de mon travail en fait, que je prends très à cœur. Mon job, c'est pas très dur : c'est ma vie. J'ai claqué la porte au nez de ma famille, de mon passé pour pouvoir le faire alors autant vous dire que j'y tiens. D'ailleurs, mes élèves me qualifient facilement de prof un peu trop enthousiaste. Et particulièrement exigeant, le genre fou qui pense qu'ils n'ont que l'anglais dans la vie. Mais c'est pas vrai, je crois juste que pour parler une langue, il faut la pratiquer. Et ça ils le font pas tous seuls, alors je les aide.

Un vrai chevalier je vous disais !


Roux. C'est l'une des premières choses que l'on constate chez moi, et pour cause : je suis japonais. Un vrai Japonais, avec des origines qui pour ce que j'en sais sont à 100% japonaises. Enfin... Si on excepte les forts probables ancêtres chinois ou coréens. Peu importe. Je suis japonais et je suis roux. D'un vrai-faux roux obtenu par teinture que je considère presque comme ma couleur de cheveux naturelle. Quatre ans que je le porte.

A part ça... Je suis normal je crois. Pas super grand, pas vraiment petit, j'ai une taille avoisinant le mètre soixante-quinze. Pour être franc, ça m'a complexé un certain temps, j'aurais bien aimé avoir une dizaine de centimètres de plus. Avec ma grandeur, pas moyen de devenir basketteur pro et j'en ai rêvé longtemps. Maintenant je m'en moque, mais je joue encore en amateur et je peux du coup dire que j'ai un corps plutôt bien proportionné, sport oblige.

Sinon mes yeux sont noirs et ma peau n'est ni tellement pâle, ni vraiment hâlée. J'ai les traits assez fins, mais typiquement japonais et j'ai un certain succès autant auprès des hommes que des femmes. Auprès de certains élèves aussi mais ça m'intéresse déjà moins. Petit détail qui me vaut l'interdiction de mettre un orteil dans un bain public ou une piscine publique : mon grand dragon coloré tatoué dans le dos. Ça fait yakuza, mais je l'aime beaucoup. Le reste, comme les quelques cicatrices qui parcourent mon corps, vous le verrez... peut-être un jour.


Je suis né il y a presque 23 ans, un jour d'août. Le 17 précisément. Sans doute faisait-il chaud mais pour être franc je ne m'en rappelle pas. Il paraît que j'étais déjà agité pour un bébé à l'époque, que même avec quelques mois, je remuais beaucoup. Il paraît que j'étais adorable, que ma sœur m'a confondu quelques temps avec une poupée, que mon frère tentait de m'apprendre à lire alors que je n'avais même pas encore atteint les quatre ans. Là encore, je n'en ai pas tellement de souvenirs. Sauf les photos que garde ma mère, mais je en suis pas près de les revoir.

Ma mémoire s'est mise à fonctionner réellement un peu plus tard, lorsque je suis entré en maternelle à l'école internationale de Kyoto. Mes parents voulaient que je maitrise l'anglais et pour eux, me faire commencer le plus tôt possible. Bon choix vu quelle matière j'enseigne maintenant. Mais leurs motifs n'étaient pas vraiment lié à des projets de carrière dans l'éducation.

Mon paternel, Daichi Moe est un homme d'affaire important du Japon et de l'Asie. Il hérita très jeune de l'entreprise familiale, implantée dans l'import-export. Doué pour les affaires, il la fit tant grandir qu'elle devint bien vite l'une des plus florissante du pays, puis de cette partie du monde. Quelques succursales ont d'autres spécialités, ce qui fait de la Moe Corporation une véritable toile d'araignée. Difficile pour vous de ne pas avoir vu son nom quelque part.

Toujours était-il qu'il me destinait à une carrière de cette ordre. Ikkaku, mon frère, avait déjà suivi cette voie et ma sœur quant à elle était élevée à l'image de ma mère, ce qui n'était pas forcément sans pression. J'eus très tôt des poussées de rébellion : ce n'était pas le genre d'avenir qui me plaisait et alors que j'atteignais ma dernière année de primaire, je décrétai que je serais basketteur.

Je fis mon collège dans la même école, c'est-à-dire l'école internationale de Kyoto où j'avais un certain nombre d'amis. Comme je fréquentais déjà beaucoup d'étrangers, j'avais souvent l'esprit plus aventurier que les gamins japonais que je croisais hors des classes. J'en trouvais néanmoins toujours avec qui faire des blagues et les filles représentaient, à l'époque, un excellent sujet de blagues. A leurs dépens. Elles étaient aussi paradoxalement notre meilleur public.

Vint ensuite le lycée que je ne pus faire dans la même école : elle s'arrêtait à la fin du collège. Comme mon paternel travaillait déjà en semaine à Tokyo, il décida de me placer dans un lycée international à Tokyo pour poursuivre le cursus comme je l'avais commencé. A cette époque, j'eux mes premiers cours du soir pour approfondir mes notions d'économie, mais aussi en thaïlandais. Il espérait encore au début que je suivrais ses traces et entendait me former pour que je puisse évoluer dans certaines succursales de l'entreprise. L'une d'entre elle étant établie en Thaïlande, j'avais pu opter pour cette langue et je m'étais révélé plutôt bon, même si depuis j'ai beaucoup perdu.

A cette époque néanmoins, j'étais déjà entré dans ma phase de rébellion. Mon comportement laissait, il faut l'avouer, souvent à désirer et je me retrouvais avec un paquet d'ennuis sur le dos. Toujours sociable et prompt à aider, je me suis battu plus d'une fois tout de même et ces combats m'ont autant valu une certaine expérience dans la bagarre que de cicatrices sur le corps. Je m'estime chanceux de m'en être toujours relativement bien tiré.

Quand arriva la fin du lycée, je décrétai que j'allai enfin vivre comme je l'entendais. Tentant en vain de faire plier mon père – je voulais depuis quelques années m'orienter vers une carrière dans l'enseignement si je ne grandissais pas suffisamment pour le basket – j'ai fini par claquer la porte après une énième dispute pour m'envoler aux USA sitôt mon diplôme en poche.

La vie fut un peu difficile une fois débarqué à New York. Autant ma sœur Hanabi continuait de me parler – il me fallut bien ça le temps de m'adapter – autant ni mon frère ni mon père ne voulaient plus entendre parler de moi et je le leur rendais bien. Ma mère tenta néanmoins de m'épauler un peu, discrètement, m'envoyant de l'argent pour me permettre de faire les études dans l'université qui m'intéressait. J'avais à côté des petits boulots et un logement en collocation avec deux autres étudiants. L'un d'eux avait un frère qui étudiait à la Hamura High School. Intéressé, surtout pour y postuler à la fin de mes études, j'y débarquai finalement au moins d'avril 2010 pour entamer ma première année d'enseignement dans une école. Auparavant, je n'avais pu donner que des cours à domicile puisque je comptais bien rentrer au Japon pour y vivre.


Akutsu n'a passé que deux mois à la Hamura High School – un peu moins même. Ce furent deux mois pourtant riches en découverte, puisqu'il apprit ainsi l'identité de son demi-frère dont il connaissait déjà l'existence. Il s'agit de son colocataire et ami Cathan O'Leary, première personne qu'il ait vu à l'école. Il estime d'ailleurs avoir de la chance en ayant pu se faire transférer dans le même établissement.

Compétences particulières

Langues parlées :

• Japonais : Sa langue natale, qu'il parle évidemment couramment.
  
• Anglais : Il le parle couramment, avec un accent new yorkais léger, mais marqué. Son vocabulaire en anglais est aussi étendu - presque même plus - que son vocabulaire en japonais.
  
• Thaïlandais : Il le comprend relativement bien et est capable de tenir des conversations assez simples, mais il a beaucoup perdu par rapport à ce qu'il était capable de faire au lycée.
  
• Espagnol : Il en connait les jurons et quelques phrases types, sans plus puisqu'il ne l'a jamais vraiment appris.
  

Sport : Très bon au basket, il en a fait durant toute sa scolarité. Sa petite taille pour un basketteur le frustra énormément : avec ne serait-ce que 10 centimètres en plus, il aurait tenté une carrière là-dedans.

Hé bien ! Tu auras pris ton temps pour faire ta fiche !

Bon, tout est en ordre. Tu rejoins tes collègues dans l'appartement 1.
Je crois que Jiro y prépare une paëlla pour fêter vos retrouvailles. ^^

Owi, une paëlla ! *o*
Et j'ai mis deux jours, c'est pas long ça, deux jours ! C'est la preuve d'une fiche soignée